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dc.contributor.authorSidibé, Aïssata
dc.date.accessioned2022-08-19T11:58:53Z
dc.date.available2022-08-19T11:58:53Z
dc.date.issued2022
dc.identifier.other22P16
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/5651
dc.description.abstractNous avons réalisé une étude prospective chez 200 patients vivants avec le VIH réalisant leur bilan de suivi au laboratoire du CHU du Point G. La majorité de nos patients avaient un taux de lymphocyte TCD4+<350 cellules/μl. Plus de la moitié de nos patients avaient un ratio inférieur à 0,5. Concernant la co-infection VIH/hépatite, 11% avaient un AgHbs positif et aucun de nos patients n’avaient de l’hépatite C. La plus part de nos patients avaient une charge virale indétectable. Au terme de notre étude, nous avons constaté que chez la majorité de nos patients en même temps une charge virale indétectable, un AgHbs négatif, l’absence de l’anticorps du virus de l’hépatite C et un taux de lymphocyte TCD4+<350. Il ressort que malgré malgré un traitement antirétroviral bien conduit avec suppression virale, les patients ayant un ratio TCD4 /TCD8 inférieur à 0,5 mettent plusieurs années pour inversé ce ratio. D’autres pathologies non classant VIH peuvent survenir et en résulteraient d’un dysfonctionnement immunitaire, la dysimmunité.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectDysimmunité
dc.subjectVIH
dc.subjectTraitement
dc.subjectAntirétroviral
dc.subjectLaboratoire
dc.titleDysimmunité liée au VIH au cours du traitement antirétroviral au laboratoire du CHU du point G
dc.typeThesis


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