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dc.contributor.authorEnmegne Wankeu, Nicolette
dc.date.accessioned2021-08-23T10:16:54Z
dc.date.available2021-08-23T10:16:54Z
dc.date.issued2021
dc.identifier.other21P59
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/4764
dc.description.abstractIntroduction : L’alimentation est l’ingestion d’aliments par des organismes vivants pour obtenir des nutriments nécessaires et de l’énergie pour atteindre un développement équilibré. Une alimentation équilibrée durant la grossesse et l’allaitement est primordiale pour la santé de la mère et de l’enfant. De ce fait, une mauvaise alimentation chez la femme enceinte et la femme allaitant peut avoir des répercussions graves sur sa progéniture comme sur elle-même. Objectif : décrire les caractéristiques sociodémographiques, économiques, et l’alimentation des gestantes et des femmes allaitant vues en consultation au CSCom de Koulouba en 2020 et d’identifier les facteurs qui influencent l’alimentation de ces femmes. Méthodes : Nous avons réalisé une étude transversale descriptive qui s’étendait de février 2020 à mai 2021 au CSCom de Koulouba en commune III du district de Bamako. Nous avons rempli la fiche d’enquête de chaque mère en se basant sur toutes les informations liées à leur alimentation. Résultats : Au total, nous avons enregistré 101 mères dont 31 gestantes et 70 femmes allaitant. Au sein de cette population d’étude, l’ethnie Bambara était la plus représentée chez les femmes enceintes comme chez les femmes qui allaitent, avec respectivement 45,16% et 54,28%. Parmi nos enquêtées, 38,7% des femmes enceintes étaient non scolarisées, tandis que 34,28% des femmes allaitant étaient du niveau secondaire. Les gestantes pratiquant une activité physique étaient minoritaires avec un taux de 16,12%. Chez les femmes allaitant également, rien que 18,57% des mères pratiquaient une activité physique. Près de 29% des femmes enceintes avaient consommé moins de cinq groupes alimentaires la veille de l’enquête. La minorité des femmes allaitant (20%) avaient consommé moins de cinq groupes alimentaires la veille de l’enquête. Parlant du score de consommation alimentaire, les femmes enceintes ayant un SCA acceptable étaient majoritaires avec un pourcentage estimé à 87,09%. Et chez les femmes allaitant, la majorité également, soit 81,42% avait un SCA acceptable. Conclusion : Aucun facteur n’était associé à un faible score de consommation et de diversité alimentaire chez les femmes enceintes ; par contre chez les femmes allaitant, la profession avait une influence sur leur faible score de diversité alimentaire individuel. Malgré les efforts consentis, l’enjeu reste de taille afin d’améliorer l’alimentation des femmes allaitant ; pour réduire ainsi les effets néfastes d’une mauvaise alimentation.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectGestion pharmaceutique
dc.subjectContrôle de qualité
dc.subjectAlimentation
dc.subjectGrossesse
dc.subjectAllaitement
dc.subjectFemmes enceintes
dc.subjectFemmes allaitante
dc.subjectScore de consommation alimentaire
dc.subjectScore de diversité alimentaire
dc.titleEtude de l’alimentation des femmes enceintes et allaitant vues en consultation au CSCom de Koulouba en commune III du district de Bamako en 2020.
dc.typeThesis


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