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dc.contributor.authorDoucouré, Lalla
dc.date.accessioned2025-10-22T14:00:13Z
dc.date.available2025-10-22T14:00:13Z
dc.date.issued2014
dc.identifier.other14P00
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/14847
dc.description.abstract317 patients ont été référés dans les services des maladies infectieuses et de médecine interne du CHU de Point G entre 1er janvier 2012 et 30 juin 2012. sur l'ensemble des référés 248 ont été enrôlés dans notre séries. la grande majorité des malades étaient admis dans le service des maladies infectieuses 65,3%. Le sexe féminin prédominant avec 50,4%. la profession la plus concernée la femme au foyer 36,7%. 60 germes ont été isolés (57 agents infectieux sensibles aux antibiotiques antibactériens, 3 champignons) dont les plus dominants sont Escherichia coli (33,3%), neisseriameningitidissérotype wl135 (21,7%). les Les Céphalosporine de 3ème génération occupent la 1ère place des classes d'antibiotiques avant et après admission [ 146;42,7% vs 102;23,2%] avec p= 0,31, Nitro-imidazolé [ 60 ;17,5% 47 ; 10,7% ] avec p= 3,33%, Quinolones [ 24, 7% vs 56; 12,7% ] avec p=0,37. les sulfamidesont été plus prescrites au cours de l'hospitalisation [ 28; 8,2% vs 80; 18,2% ] sans différence statistique ( p= 0,39). De même, les aminosides et les antituberculeux furent plus rapportés à l'hospitalisation soit respectivement [10; 2,9% vs 25; 5,7%] sans différence statistique (p=0,66) et (8; 2,3% vs 25; 5,7%] avec p=0,57. 24,2% des antibiothérapies n'étaient pas adapté au diagnostic retenu. la majorité des patients référés avaient eu une évolution favorable.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.subjectAntibiothérapiefr_FR
dc.subjectEpidémiologiefr_FR
dc.titleEtude épidémiologique de l'antibiotherapie chez les patients referés au CHU du Point G.fr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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