dc.description.abstract | La culture et le test in vitro et ex-vivo de P. falciparum a facilité la recherche active sur le parasite du paludisme en vue de la recherche de connaissances fondamentales et de la découverte de traitements médicamenteux efficaces. Une telle méthode de culture et d’essais de médicament ne prenant en compte des aspects immunologiques s’avère donc une approche bénéfique durant le développement des médicaments. Ici, nous avons évalué in vitro l’influence des facteurs sériques humains sur l’activité inhibitrice de multiplication de Plasmodium falciparum en présence d’une molécule antipaludique. Nous avons effectué une étude expérimentale in vitro pour mesurer l’effet d’inhibition de la multiplication de P. falciparum d’une molécule anti paludique et des sérums collectés chez les sujets vivants dans des zones endémiques de paludisme. Les inhibitions étaient plus importantes à 48 heures avec les sérums de Koïla alors qu’elles étaient similaires à 48 heures et à 96 heures avec ceux de Dangassa. De façon générale, Nos résultats n’ont montré aucune corrélation entre les titres d’anticorps et l’inhibition. Certains sérums de Koïla ont boosté l’inhibition de la multiplication de P. falciparum par la DHA, tandis que d'autres l'ont réduit . En revanche, les sérums de Dangassa ont montré une interaction plus uniforme avec la DHA, seul un sérum réduisant légèrement son efficacité. | fr_FR |