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dc.contributor.authorKuetche Makoudjou, Emilie
dc.date.accessioned2024-10-30T07:05:04Z
dc.date.available2024-10-30T07:05:04Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13551
dc.description.abstractIntroduction : L’utilisation des plantes médicinales par les patients diabétiques peut entrainer un sous dosage ou un surdosage des médicaments antidiabétiques modernes , d’où l’intérêt de notre étude. L’objectif est l’étude des risques associés à l’utilisation concomitante des médicaments traditionnels et modernes dans le traitement du diabète. Méthodologie : Nous avons effectué une étude transversale qualitative . Les données collectées ont été saisies sur Microsoft Excel 2019 et analysées sur le logiciel SPSS version 24. Résultats : Sur une période de 3 mois d’enquêtes, 202 patients ont été interrogés, parmi lesquels 145 patients (71,8 %) faisaient recours à la tradithérapie. Il s’agissait dans la majorité des cas (70,8 % des cas) des femmes avec un sex ratio à 2,42. Le traitement moderne par excellence était à base de biguanide, soit en mono soit en bithérapie. Il est ressorti tant bien que mal par nos enquêtés, 4 plantes traditionnelles qu’ils utilisaient en association à leur traitement moderne, dans l’optique d’un meilleur contrôle de leur chiffre glycémique : Dembassidi (Euphorbia hirta), Golobè (Combretum micranthum), Manguier/feuilles (Mangifera indica l.) et Moringa (Moringa oleifera). On retrouvait chez 19 patients (9,4 %) étant sous les 2 formes de traitement des complications, essentiellement de l’ordre de l’aggravation des symptômes et des sur-infections. Les analyses croisées montraient une corrélation significative entre la tranche d’âge la plus représenté 60 à 80 ans (p valeur < 0,05) , les complications (p valeur < 0,05) et l’utilisations des médicaments traditionnels en association avec la thérapie moderne. Ces résultats rendent compte du risque présent liée à l’utilisation de la tradithérapie, surtout en association a la thérapie moderne, de part de non connaissance par les patients de la pharmacocinétique et pharmacodynamie des produits ingérés. Conclusion : Cette étude nous a permis de savoir que la majeure partie de la population utilise les plantes médicinales pour soigner leur diabète bien qu’étant sous traitement antidiabétique moderne.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24P45;
dc.subjectSante publiquefr_FR
dc.subjectDéveloppement du médicamentfr_FR
dc.subjectDiabètefr_FR
dc.subjectPlantes médicinalesfr_FR
dc.subjectCHU Luxembourgfr_FR
dc.subjectBamakofr_FR
dc.titleUtilisation des plantes médicinales chez les diabétiques au CHU mère enfant le LUXEMBOURGfr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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