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dc.contributor.advisorDiallo, Souleymane
dc.contributor.advisorGuindo, Ibréhima
dc.contributor.authorMallé, Aly
dc.date.accessioned2024-06-21T11:26:54Z
dc.date.available2024-06-21T11:26:54Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.other18P77
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13250
dc.description.abstractLa présente étude avait pour objectif d’évaluer la sensibilité et le profil de résistance aux antimicrobiens des souches de Salmonella isolées au Laboratoire Rodolphe Mérieux de Bamako (LRM). L’étude retro prospective, réalisée au LRM, a porté sur les germes isolés des prélèvements susceptibles de contenir des entérobactéries et plus précisément Salmonella, de janvier 2015 à décembre 2017. La sensibilité aux antibiotiques a été déterminée par la technique de diffusion sur gélose Muller-Hinton et avec les automates Vitek 2 Compact et le Mini Api. Au cours de la période d’étude, un total de 739 souches de bacilles à gram négatifs ont été isolées de tous les prélèvements reçus au laboratoire de bactériologie du LRM. Les entérobactéries représentaient 93,97% de l’ensemble des germes isolés soit 693 souches. Ces souches provenaient majoritairement d’urines (331), de pus (261) et de selles (43). Escherichia coli était l’espèce la plus fréquemment isolée (49,12%), suivie de Klebsiella (17,86%) et Proteus (7,58%). En plus des espèces couramment rencontrés dans les infections (Salmonella, Morganella, Enterobacter, Providencia, Pseudomonas, Acinetobacter), ont été également isolées en très faible proportion des espèces plus rares comme Raoultella spp. (6 souches des pus, du liquide d’ascite et des urines), Pantoea spp., Bordetella spp., Leclercia spp. (tous isolées des pus) et Burkholderia spp. (1 souche des expectorations). Salmonella spp. représentait 7,31% soit 54 souches dont la majorité était issu des prélèvements de selles (37) et d’hémocultures (11). Nos souches ont été particulièrement sensibles aux antibiotiques testés. Ainsi les taux de résistance les plus élevé déterminés ont été aux quinolones était à l’acide nalidixique (31,91%), aux aminosides (tobramycine 20,98%), aux bêta-lactamines (amoxicilline 18,51%) ainsi que 13,20% au co-trimoxazole. Nous avons isolés cinq souches de Salmonella multi résistantes aux antibiotiques testés. L’évolution de la résistance aux antibiotiques augmente graduellement avec le temps.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.titleSurveillance de la résistance aux antimicrobiens des souches de Salmonella isolées au Laboratoire Rodolphe Mérieux de 2015 à 2017 à Bamako au Mali
dc.typeThesis


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