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dc.contributor.advisorDiallo, Souleymane
dc.contributor.advisorGuindo, Ibréhima
dc.contributor.authorDembélé, Aminata
dc.date.accessioned2024-06-21T11:26:43Z
dc.date.available2024-06-21T11:26:43Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.other18P64
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13240
dc.description.abstractLa présente étude avait pour objectifs de mettre en place un système de surveillance de la résistance aux antimicrobiens des souches d’Escherichia coli isolées au Laboratoire Rodolphe Mérieux. C’était une étude rétrospective sur deux ans allant de janvier 2016 à septembre 2017. Différents milieux ont été utilisés pour la culture des souches d’Escherichia coli notamment Uiselect4 qui est un milieu chromogène sur lequel les colonies d’E. coli apparaissent rose après 24h d’incubation à 37°C. La gélose Drigalski aussi est un milieu sélectif pour les bacilles Gram négatif où par fermentation du lactose les colonies d’E. coli apparaissent jaunes après 24h d’incubation à 37°C pour l’identification. Le test de sensibilité aux antibiotiques par la méthode de diffusion en milieu gelosé de Muller Hinton selon la recommandation du CA-SFM version 2017 ou par le Vitek2 Compact. Et la souche E coli ATCC 25922 a été utilisée pour le contrôle de qualité interne. Durant la période d’étude 402 bacilles à gram négatif ont été identifiés à partir de différents produits pathologiques (Hémoculture, Liquide d’ascite, prélèvements urinaire, urétral, pus) parmi lesquelles les entérobactéries représentaient 92% de l’effectif et Escherichia coli était le germe le plus isolé (49%). Le pourcentage d’isolement de l’espèce à partir des prélèvements urinaires était plus important soit 62,5%. Dix-huit pour cent (18%) des souches étaient productrices de béta-lactamases à spectre élargie (BLSE), le phénotype CASE était le moins rencontré (1%). La résistance aux antibiotiques a été observée à plusieurs niveaux de familles d’antibiotiques notamment les béta- lactamines, les aminosides et les quinolones. L’imipenème, la fosfomycine et la nitrofurantoine étaient les molécules les plus actives. Les souches isolées des urines étaient fortement productrices de BLSE (58,33%). Les souches isolées dans les échantillons des patients en provenance des structures de santé communautaires produisaient plus de BLSE et de phénotypes sauvages soit 38,89% et 70,83% respectivement. L’augmentation de la résistance aux antibiotiques a considérablement augmenté ce qui rend la prise en charge des infections à Escherichia coli difficile.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.titleSurveillance de la résistance aux antimicrobiens des souches d’Escherichia coli isolées au laboratoire Rodolphe Mérieux de 2016 à 2017 à Bamako/Mali
dc.typeThesis


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