dc.description.abstract | Notre étude nous a donné une prévalence globale de 42% chez les donneurs de sang dont 39% était des IgG et 3% était des IgM et leurs analyses ont été faite au ‘‘mini vidas’’. La prévalence des IgG la plus haute était dans la tranche d’âge 36-45 an (56,25%), chez les donneurs volontaires réguliers DVR (51,85%), chez les sujets de sexe Masculin (92%), chez les peulhs (60%), chez les patients utilisant du bois (39,34%). 38,46% comme prévalence globale chez des femmes enceintes dont leurs analyses ont été faite au ‘‘toxo latex’’. La prévalence la plus haute était chez les Grande Multigestes (66,67%), chez les nullipares (54,55%), chez les femmes qui ont eu deux décès d’enfant (50%), chez des femmes qui ont eu trois avortements (50%), chez des femmes qui n’ont pas d’enfant en vie (50%). Avec ces données nous pouvons conclure que les patients qui doivent être transfusé ne sont pas à labrit de la toxoplasmose surtout les donneurs qui ont des IgM positifs sont dangereux pour certains patients tel que les enfants et les immunodéprimés. Les IgM positif pendant le début du premier trimestre de la grossesse en cas de contamination, les conséquences sont très grave pour le bébé à la naissance. | |