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dc.contributor.authorTekété, Oumou
dc.date.accessioned2024-03-08T07:08:36Z
dc.date.available2024-03-08T07:08:36Z
dc.date.issued2023
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/12980
dc.description.abstractL’Hépatite virale B, infection systémique atteignant préférentiellement les cellules du foie constitue un veritable problème de santé publique dans le monde, responsable principalement de cirrhose ou de carcinome. Son incidence préoccupante de 1,5 millions de cas/an nous a fait entreprendre cette étude sur sa prevalence et les profils biologiques chez la femme enceinte. Pour ce faire nous avons mené une étude traversale allant de janvier 2022 à Décembre 2022 chez 100 femmes enceintes vues en consultations prenatales au CSCOM de Mékin-Sikoro dont la majorité était entre la tranche d’âge de 21-26 ans avec une prédominance des femmes au foyer (69,2%), Le nombre de geste moyen etait de 3,5±2,1 enfants. Le quartier Mékin-sikoro était plus répresenté (72%). L’analyse des examens sérologiques et biochimiques des participantes de notre étude a permi d’observer une prévalence de l’AgHBs à 13%, et la coinfection VHB/VIH à 1%. Il n’y avait pas de coinfectionVHB/VHC. Chez les 95 patientes, la vaccination anti-VHB était de 1% ; les autres marqueurs rétrouvés étaient 92,6% d’Ac anti Hbe positif, 89,5% Ac Anti HBc totaux positif, 2% Ac anti HBs. Ainsi on peut distinguer deux situations en fonction du portage de l’AgHBs : une prémière correspondante à AgHBs+/AgHBe-/Acanti HBe+/Ac anti HBs-/Ac anti HBc totaux+ avec les fréquences respectives 13% ; 0% ; 6,3% et 4,2% et une deuxième avec AgHBs-/AgHBe-/Ac anti HBe+/Ac anti HBs+/Ac HBc totaux+ avec respectivement les fréquences de 87% ; 0% ; 86,3% ; 2,1% et 85,3%. Cette dernière correspondrait à la perte de l’AgHBs avec une possible résolution de l’infection et une probabilité d’apparition futur des Ac HBs+ bien que sa presence soit faible dans notre échantillon (Ac anti HBs= 2%). Les perturbations biochimiques ont représenté 1% et 2,1% d’augmentations respectivement de GOT (cytolyse hépatique) et la LDH. Cependant les valeurs moyennes des GOT dans les deux groupes AgHBs- (GOT=21,1 UI/l±8,3) et AgHBs+ (GOT=17,1UI/l±5,3) montraient une difference significative (p˂0,1). Chez les femmes enceintes porteuses d’AgHBs (n=11) le profil sérologique rétrouvé était une infection chronique à AgHbe négatif (100%) et prédominant chez les tranches d’âges de 21-26 avec 45,0% et les femmes au foyer avec 72,7%. De ce travail il ressort que des marqueurs de l’Hépatite B étaient très présentes dans notre échantillon d’où la necessité necessitant des tests moléculaires (Recherche ADN viral, et génotypage) pour mieux une meilleure épidemiologie de ce virus dans le pays.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries23P200;
dc.subjectHépatite Bfr_FR
dc.subjectVHBfr_FR
dc.subjectVIHfr_FR
dc.subjectVHCfr_FR
dc.subjectMarqueurs sérologiques et biochimiquesfr_FR
dc.subjectAgHBsfr_FR
dc.subjectFemmes enceintesfr_FR
dc.subjectAc anti HBcfr_FR
dc.titleProfil séro-épidemiologique et biochimique de l’hépatite B chez les femmes enceintes au CSCOM de Mékin-Sikorofr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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