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dc.contributor.authorDao, Aichétou Gnéré
dc.date.accessioned2023-12-05T11:38:58Z
dc.date.available2023-12-05T11:38:58Z
dc.date.issued2023
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/12515
dc.description.abstractIntroduction : L’impact nutritionnel de l’infection à VIH est un facteur déterminant de la Maladie, pouvant entrainer une dénutrition importante d’où la classification Stade 4 OMS de l’infection VIH en zone tropicale (syndrome cachectisant dû au VIH). Méthode : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive et analytique a collecte allant de décembre 2022 à juin 2023 soit mois d’activités. L’étude s’est portée sur les PVVIH hospitalisés ou suivis en ambulatoire dans le service des maladies infectieuses e t tropicales du CHU du Point G. Résultats Pendant la période d’étude nous avons enregistré 232 patients vivant avec le VIH parmi lesquels 12 7 étaient hospitalisées (dont 8 2 malnutris et 4 5 ayant un bon état nutritionnel) et 10 5(dont 09 malnutris) étaient suivis en ambulatoires. On notait une prédominance féminine dans 60,30 % des cas. La tranche d’âge de 3 0 à 4 0 ans était la plus représenté avec 38,5 %, avec une moyenne 41,85 ans et des extrêmes de 15 et 84 ans . L’IMC moyen était de 20,79 kg/m² ; l es ménagères étaient la profession majoritaire avec 43,1% 43,1%, des mariés représentaient 58,2%. Le VIH1 était plus représenté avec 98,3% et dans tous les cas le motif d’hospitalisation majoritairement trouvé était l’altération de l’état général. Les pathologie s associées à la dénutrition étaient majoritairement représentées par la toxoplasmose cérébrale suivie de la pneumopathie bactérienne non tuberculeuse ; à l’admission 77 % de nos patients étaient sous traitement ARV et la combinaison thérapeutique à base d e Ténofovir, Lamivudine et Dolutégravir était fréquente avec 75,4 %. Tous les patients avaient reçu un traitement à base d’aliment thérapeutique prêt à l’emploi (ATPE), et également de la bouillie enrichie devant la malnutrition aigüe modérée et sévère, l e poids était le même dans la 1ere semaine après le début des ATPE, de la bouillie enrichie, les patients qui étaient uniquement sous bouillie enrichie étaient les plus représentés à 4 8, 4 % néanmoins on a constaté un gain pondérale à 41,7 % chez les patients hospitalisés .Parmi les groupes d’aliments consommés les céréales étaient les plus représentés à 7 0 49 % . Il existait une relation entre la dénutrition et l’Etat de conscience des patients. Conclusion cette étude montre que la présence de la malnutri tion était élevée chez les PVVIH hospitalisés au service de maladies infectieuses du CHU/Point G avec un taux de 39,2 2 %. Les malades présentant plus de symptomatologies étaient les plus atteints de malnutrition. La promotion d’une alimentation saine et équ ilibrée basée sur la valorisation de certains aliments traditionnels notamment les céréales plus que les légumes, le lait/produits laitiers et les oeufs doivent être priorisés.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries23M465;
dc.subjectMaladies Infectieuses et tropicalesfr_FR
dc.subjectDénutritionfr_FR
dc.subjectPVVIHfr_FR
dc.subjectATPE.fr_FR
dc.subjectNutritionfr_FR
dc.title: Aspects épidemio cliniques thérapeutique et évolutifs de la malnutrition chez les PVVIH au SMIT/CHU Point Gfr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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