Sensibilité et évolution de la résistance de Staphylococcus aureus aux antibiotiques à l' hôpital du Point G
Résumé
inférieur à Staphylococcus aureus supérieur à détermine des infections en milieu hospitalier ainsi qu'en milieu communautaire. L'identification de nos souches a été faite sur la base de leurs caractères morphologiques, culturaux et biochimiques. L'étude de la inférieur à sensibilité supérieur à de nos souches aux inférieur à antibiotiques supérieur à a été faite par la inférieur à méthode de diffusion supérieur à en gélose. Les antibiotiques les plus actifs ont été : l'association inférieur à amoxicilline supérieur à + inférieur à acide clavulanique supérieur à (100 p. 100), l' inférieur à oxacilline supérieur à (75,7 p. 100), la inférieur à céfalotine supérieur à (75,7 p. 100), la inférieur à gentamicine supérieur à (91,6 p. 100), la inférieur à kanamycine supérieur à (81,5 p. 100), la inférieur à tobramycine supérieur à (89,1 p. 100), l' inférieur à amikacine supérieur à (95,6 p. 100), la inférieur à nétilmicine supérieur à (97,1 p. 100), la inférieur à streptomycine supérieur à (78,4 p. 100), l' inférieur à érythromycine supérieur à (78,6 p. 100), la inférieur à lincomycine supérieur à (83,6 p. 100), la inférieur à pristinamycine supérieur à (92,9 p. 100), la inférieur à péfloxacine supérieur à (85,3 p. 100), le inférieur à chloramphénicol supérieur à (72 p. 100), les inférieur à sulfamides supérieur à (76 p. 100), le inférieur à triméthoprime supérieur à (77,8 p. 100) et la inférieur à fosfomycine supérieur à (97 p. 100). Les antibiotiques les moins actifs sont la inférieur à pénicilline supérieur à G (11,6 p. 100) et la inférieur à doxycycline supérieur à (47,3 p. 100). Les souches méticillinosensibles ont été plus sensibles à la gentamicine (p inferieur à 0,000001), à la kanamycine (p inferieur à 0,000001), à la tobramycine (p inferieur à 0,000001), à l'amikacine (p égal 0,0000183), à la nétilmicine (p égal 0,00025), à la streptomycine (p inferieur à 0,000001), à l'érythromycine (p inferieur à 0,000001), à la lincomycine (p inferieur à 0,000001), à la pristinamycine (p inferieur à 0,000001), à la péfloxacine (p inferieur à 0,000001), au chloramphénicol (p inferieur à 0,000001), aux sulfamides (p inferieur à 0,000001), au triméthoprime (p inferieur à 0,000001), à l' inférieur à acide fusidique supérieur à (p inferieur a 10 ) que les souches méticillinorésistantes. Seul le chloramphénicol a été plus actif sur les souches communautaires que sur les souches hospitalières (p égal 0,028). L'activité de la doxycycline a été indépendante de la inférieur à résistance supérieur à à la méticilline et de l'origine des souches. Les phénotypes de résistance aux inférieur à betalactamines supérieur à ont été la pénicillinase ( 88,4 p. 100) et la résistance à la méticilline ( 24,3 p. 100). Les phénotypes de résistance aux aminosides ont été S +KTG (7,3 p. 100), S (5,4 p. 100), et S + K (5,4 p. 100). Les phénotypes S, S + KTG et S + K ont été plus fréquents chez les souches méticillinorésistantes que chez les souches méticillinosensibles. Toutefois ces phénotypes ont été indépendants de l'origine des souches. Les phénotypes de résistance aux MLS ont été : MLSB inductible (6,9 p. 100), MLSB constitutif (6,2 p. 100) et MLSB + SA (3,6 p. 100). Ces phénotypes ont été plus fréquents chez les souches méticillinorésistantes que chez les souches méticillinosensibles. En revanche ils sont indépendants de l'origine des souches. La résistance à la pénicilline G a varié d'une année à l'autre chez les souches hospitalières comme chez les souches communautaires. Pour les autres antibiotiques, la résistance semble stable à des taux inférieurs à 30 p. 100. Les souches de S. aureus isolées à l'hôpital du Point "G" ne sont pas plus sensibles à la pénicilline G qu'ailleurs. En revanche, elles sont plus sensibles aux autres antibiotiques quecelles isolées dans des pays comme la France.