Traumatismes alvéo-dentaires et lésions associés à l'Hôpital Sominé Dolo de Mopti (HSDM): à propos de 40 cas
Abstract
Notre étude transversale sur la Consommation des stupéfiants en milieu universitaire qui s'est déroulée au niveau de la faculté de Médecine et d'odontostomatologie (FMOS) et la faculté de pharmacie (FAPH). Au terme de l'étude nous pouvons conclure que La fréquence globale de la consommation de stupéfiant était de (1,50%). Cette fréquence variait selon le sexe soit (87,5%) des garçons contre (12,5%) des filles. La plus part des étudiants consommateurs se trouvaient dans la tranche d'âge de 18-25 ans (62,5%).L'âge minimum du début de la consommation était de 17 ans chez les étudiants. 100% des étudiants consommaient moins de 10 g par jour. Dans les groupes, les motifs essentiels d'usage des stupéfiants étaient le plaisir (37,5%) suivi du stress (25%) les études (25%) et les phénomènes de mode (12,5 %) Les maladies fréquemment indexées étaient les troubles du comportement et du psychisme, la toxicomanie les broncho-pneumopathies chroniques obstructives Les conséquences évoquées étaient l'échec scolaire.93,8% des étudiants pensent qu'ils n y a pas de corrélation entre la consommation de stupéfiant et la performance scolaire Les raisons principales évoquées par les étudiants concernant l'arrêt de la consommation étaientle manque de moyen financier (60%) le danger qu'il représentait pour la santé (40%) Les moyens de lutte les plus évoqué par les étudiants sont les campagnes (4,4%) la télévision (2,1%) le radio (3,1%) la répression (3.5%) la conférence 3.3% et 83,6% des étudiants pensent qu'il faut combiner ces méthodes pour parvenir à bout. 66% des étudiants sont d'accord pour L'interdiction de la consommation de stupéfiant