Atteintes rénales au cours de l'infection à vih à l'Hôpital National de Point G
Abstract
L'objectif de notre étude et d'évaluer la inférieur à prévalence supérieur à des inférieur à atteintes rénales supérieur à par les infections VIH. Cette étude a porté sur les manifestations cliniques et biologiques de l'atteinte rénale au cours de l'infection à VIH chez 44 patients hospitalisés dans 4 services de medecine (néphrologie, phtisio-pneumologie, medecine interne, neurologie ) de l' inférieur à Hôpital National du Point G supérieur à de Bamako au Mali. La moyenne d'âge de nos malades étaient 40 ans avec un sex-ratio de 1,2 en faveur des hommes. Au total 11 malades étaient célibaraires soit 25 p.100 des cas, 26 malades ( 59,10 p.100) étaient mariés, 5 malades (11,40 p.100) étaient veufs et 2 malades (04,50 p.100) étaient divorcés. Nous avons eu une prédominance du inférieur à VIH-1 supérieur à avec 90,90 p.100 des cas. La prétéinurie massive superieure a 3g /24 H a été retrouvée chez 25 p.100 de nos malades avec chez 6 malades une proteinurie superieur a 6g /24 H soit 15,90 p.100 des cas. La créatinine plasmatique était sueprieure a 400 mmol /l chez 6 malades et superieur a 1000 mmol/1 chez 03 malades soit respectivement 13,63 p.100 et 06,82 p.100. Au total 27,30 p.100 des malades avaient une IRC modérée ; 42,20 p.100 une IRC sévère et 11,40 p.100 étaient au stade terminal de l'IRC. L'infection était présente chez 27,30 p.100 de nos malades avec une prédominance d' inférieur à Echerichia coli supérieur àsur l'ensemble des germes cultivés soit 15,90.p.100 ; la sérologie bilharzienne a été positive chez 34,03 p.100 des malades, l' inférieur à échographie supérieur à réalisée chez 23 de nos malades avait rélevé des reins augmentés de taille chez 04 malades soit 17,40.p.100 des cas et des reins de structure de taille normale chez 14 malades à (60,90 p.100.). Le traitement a été symptomatique chez tous les malades à base de solutés, d'antibiotiques et antifongiques. Les moeurs et coutumes ainsi que les moyens financiers ne nous ont pas permis d'asseoir un diagnostic et de définir le mode de contamination.