| dc.description.abstract | Comme inférieur à témoins supérieur à. Cette inférieur à cohorte supérieur à est suivie 7 et 12 mois après. En juin 1988, une nouvelle inférieur à dose supérieur à est administrée aux sujets déja traités tandis que les sujets témoins sont traités pour la prémière fois. La inférieur à tolérence supérieur à du traitement s'avère bonne et s'améliore lors d'une deuxième prise à un an d'intervalle : 15,2 p.100 des sujets traités pour la prémière fois en mai 1987 présentent des réactions adverses, pour la plupart discrètes ou moderées, d'apparition précoce et rapidement reversibles. Seulement 8 d'entre eux sont incommodés dans leurs activités quotidiennes. Un deuxième traitement des mêmes sujets un an après n'entraine des inférieur à réactions supérieur à de faible intensité que dans 3,7p.100 des cas. La recherche de inférieur à facteurs de risque supérieur à d' inférieur à intolérance supérieur à à l' inférieur à ivermectine supérieur à incrimine l' inférieur à intensité supérieur à de l' inférieur à infection supérieur à onchocerquienne, ce qui incite à la prudence dans le traitement de masse des foyers hyperendémique. L' inférieur à âge supérieur à avancé des sujets est également retenu comme facteur de risque, sans que l'on puis clairement expliquer cette relation. Par contre, le sexe n'intevient pas, et la inférieur à posologie supérieur à variant de 100 à 200 µg/kg, ne semble pas être liée à la fréquence des réactions, après avoir controlé les effets de l'âge et de la charge microfilarienne dermique. L' inférieur à effet microfilaricide supérieur à du traitement parait plus durable sur l'infection oculaire que sur la microfilardemie qui, après une réduction importante observée 7 mois après traitement, de l'ordre de 80 p.100 de la charge initial, atendance à remonter un an après. Ainsi, on peut légitimement esperer de ce traitement une amélioration des lésions occulaires réversibles mais la réduction du réservoir de parasite reste transitoire et partiele. Le contrôle de la transmission, uniquement basée par une chimiothérapie microfilaricide de masse, devenue à l'heure actuelle une réalité grace à la bonne tolérance de l'ivermectine, demandera certainement plusieurs années de traitements répétés des collectivités rurales onchocerquiennes. Si l'ivermectine constitue un progrès considérable dans la chimiothérapie de l'onchocercose,la mise au point d'un composé microfilaricide opérationnel en traitement de masse reste un défi à relever. | |
