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dc.contributor.advisorCissé, Idrissa Ahmadou
dc.contributor.authorTraoré, Zoumana
dc.date.accessioned2023-08-04T17:48:04Z
dc.date.available2023-08-04T17:48:04Z
dc.date.issued2010
dc.identifier.other10M90
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/9523
dc.descriptionThèse d'exercice : Médecine : Bamako : 2010
dc.description.abstractCette étude prospective a privilegé la démarche diagnostique et le suivi thérapeutique. Durant une année (du 01 Janvier au 31 Décembre 2008) les RIC ont représenté 3,12 p.100 de nos consultations et hospitalisations. La population féminine était la plus touchée avec 84,4 p.100 des cas. La tranche d'âge 48-53 ans était la plus affectée. La PR représentait 60 p.100 de ces affections dont 8,9 p.100 sont « séronégatives ». Les rhumatismes indifférenciés représentaient 17,8 p.100 . Le LES était isolé dans 4,4 p.100 et un cas iatrogénique a été rapporté. En revanche, les spondylarthropathies sont rares. Les atteintes articulaires au cours des RIC étaient surtout bilatérales et symétriques (71,1 p.100 ) et de localisation mixte (58,1 p.100 ). Plus d'un patient sur deux était en rémission : 57,7 p.100 . Le MTX semblait le plus efficace, avec l'HCQ ils étaient les mieux tolérés. Les RIC ne sont pas héréditaires, ni contagieux. Leur rémission peut être longue mais sans « guérison » totale
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité de Bamako
dc.subjectRhumatismes inflammatoires chroniques. Adulte Rhumatologie.
dc.titlePrise en charge des rhumatismes inflammatoires chroniques de l'adulte dans le service de Rhumatologie du CHU du Point G
dc.typeThesis


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