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dc.contributor.advisorKokaina, Chaka
dc.contributor.advisorSy, Assitan Sow
dc.contributor.authorSeme, Karim
dc.date.accessioned2023-08-04T17:38:18Z
dc.date.available2023-08-04T17:38:18Z
dc.date.issued2010
dc.identifier.other10M443
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/9368
dc.descriptionThèse d'exercice : Médecine : Bamako : 2010
dc.description.abstractLa rupture utérine constitue une des principales causes de mortalité maternelle au Mali. Durant ces 30 mois d'étude nous avons enregistré 4594 accouchements dont 62 cas de rupture utérine. La fréquence de la rupture utérine est de 1,3 p.100, les grandes multipares sont les plus affectées, la désunion de cicatrice de césarienne, la dystocie mécanique et l'usage abusif des ocytociques sont les principales causes de cette complication de l'accouchement. L'hystérorraphie a été pratiquée dans 59 p.100 des cas. Les suites opératoires ont été simples dans 91,9 p.100 des cas. Les létalités maternelle et foetale sont respectivement de 8,1 p.100 et de 87,1 p.100 . La rupture utérine est une urgence chirurgicale. L'hystérorraphie donne de bons résultats thérapeutiques chaque fois qu'il s'agisse de rupture aux bords nets sans signe de nécrose, par contre l'hystérectomie s'impose quand les lésions sont étendues et qu'une nécrose est présente
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité de Bamako
dc.subjectRupture utérine, Causes, Pronostic materno-
dc.titleRupture utérine à l'hôpital Nianankoro Fomba de Ségou de Janvier 2007-Juin 2009 (à propos de 62 cas)
dc.typeThesis


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