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dc.contributor.advisorMaiga, Youssoufa
dc.contributor.advisorTraoré, Hamar Alassane
dc.contributor.authorDiarra, Martin
dc.date.accessioned2023-08-04T17:37:30Z
dc.date.available2023-08-04T17:37:30Z
dc.date.issued2010
dc.identifier.other10M427
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/9354
dc.descriptionThèse d'exercice : Médecine : Bamako : 2010
dc.description.abstractNotre étude avait pour objectif d'étudier les connaissances, attitudes et pratiques des enseignants face à l'épilepsie. Au cours de cette étude, 92 enseignants dans 21 établissements ont été interrogés dont la majorité provenait des écoles fondamentales. Le sexe masculin était le plus représenté avec 65,2 p.100 . Vingt six virgule un pourcent (26, 1 p.100 ) des enseignants ont entendus parler de l'épilepsie à travers le personnel de santé et aussi 26,1 p.100 par le tissu social (famille et lieux de causerie). Quatre vingt onze virgule trois (91,3 p.100 ) connaissaient l'épilepsie comme une maladie. Seize virgule trois pourcent (16,3 p.100 ) pensaient que l'épilepsie était contagieuse. Quatre vingt quatre virgule huit pourcent (84,8 p.100 ) reconnaissaient l'épilepsie par les crises tonico-cliniques généralisées. Les pathologies du cerveau ont été citées par 62 p.100 des enseignants comme principales causes de l'épilepsie. L'émotion comme principal facteur déclenchant les crises a été citée par 50 p.100 des enseignants. Soixante dix neuf virgule trois pourcent (79,3 p.100 ) pensaient que l'épileptique ne pouvait pratiquer tous les sports. Trente neuf virgule un pourcent (39,1 p.100 ) pensaient que l'épilepsie était curable. Trente un virgule cinq pourcent (31,5 p.100 ) pensaient que le médecin était le meilleur recours d'un enfant épileptique. Quatre vingt trois virgule sept pourcent (83,7 p.100 ) pensaient que les médicaments anti-épileptiques (MAE) du médecin étaient mieux pour contrôler les crises épileptiques. Le coût très élevé des MAE a été cité par 51,1 p.100 des enseignants comme motif d'abandon du traitement médical. Soixante trois pourcent (63 p.100 ) pensaient que le traitement ne pouvait être arrêté que sur avis médical. Quatre vingt seize virgule sept pourcent (96,7 p.100 ) pensaient que l'enfant épileptique avait droit à une scolarité normale. Cinquante neuf virgule huit pourcent (59,8 p.100 ) pensaient que l'épilepsie était stigmatisant. Quatre vingt dix virgule deux pourcent (90,2 p.100 ) pensaient que les crises épileptiques étaient les causes d'absentéisme de l'élève épileptique à l'école. Quarante cinq virgule sept pourcent (45,7 p.100 ) pensaient que l'enfant épileptique avait de bonnes capacités intellectuelles. Quatre vingt huit pourcent (88 p.100 ) pensaient que l'épilepsie pouvait baisser le rendement scolaire de l'épileptique. Soixante huit virgule cinq pourcent (68,5 p.100 ) pensaient que l'épileptique pouvait faire des activités physiques. Quarante cinq virgule cinq pourcent (45,5 p.100 ) pensaient que l'enfant pouvait poursuivre ses cours après une crise en classe. La totalité des enseignants (100 p.100 ) ont affirmé la nécessité de discuter de l'épilepsie à l'école
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité de Bamako
dc.subjectEpilepsie, Conissances, Attitutudes, Pratiques Enseignants, Ecole, Enfant épileptique, Ville
dc.titleEpilepsie a l'école : connaissances, attitudes et pratiques des enseignants de la ville de Kati au Mali
dc.typethesis


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