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dc.contributor.authorSissoko, Bilaly
dc.date.accessioned2019-03-19T00:19:38Z
dc.date.available2019-03-19T00:19:38Z
dc.date.issued2015
dc.identifier.other15M310
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/931
dc.description.abstractNotre étude avait pour but d'étudier les aspects épidémiologiques, étiologiques et thérapeutiques des pathologies obstructives du bas appareil urinaire chez l'homme au service d'urologie du CHU du point G. C'est une étude prospective répertoriant 554 cas des pathologies obstructives du bas appareil urinaire chez l'homme sur une période de 12 MOIS (janvier 2014 à décembre 2014). Les pathologies obstructives du bas appareil urinaire chez l'homme ont représentées une fréquence de 45,04% de l'ensemble des malades hospitalisés. Le motif de consultation le plus fréquent était la dysurie (228 cas) soit 41,2%.La tranche d'âge la plus concernée était des malades de 66 à 70 ans. La bilharziose et l'urétrite considérée comme facteurs prédisposant à une pathologie obstructive ont été retrouvées chez 18,6% et4,3% de cas chez nos malades comme antécédent médical. Le diagnostic est évoqué par l'anamnèse, l'examen physique et le toucher pelvien, mais confirmé par les examens complémentaires (échographie, UCR, cystoscopie, UIV). Sur les 554 malades 43,14%(239 cas) avaient une hypercreatininemie, 52,53% (114 cas) avaient une anémie et 34,8%(193 cas) présentaient une infection urinaire en majorité à E. coli (84 cas). . Le but du traitement a été la levée d'obstacle avec amende ment des signes obstructifs et irritatifs. Il a été dans la majorité des cas celui de la cause. Cette levée est impérative sous peine de voir apparaitre des complications. Il faut signaler que le traitement endoscopique a occupé une large place dans notre arsenal thérapeutique: urétrotomie interne endoscopique pour les sténoses et rétrécissements de moins de 1cm, la résection transurétrale de la vessie pour les tumeurs de vessie envahissant le col de la vessie et la résection transurétrale de la prostate pour les hypertrophies prostatiques de moins de 60grammes. Ainsi les hypertrophies prostatiques compliquées et les échecs du traitement médical avec troubles urinaires modérées à sévères ont bénéficiés une adénomectomie par voie haute soit 46,51% (240 cas) et un évidement prostatique pour les suspicions d'adénocarcinome de la prostate soit 2,71% (14 cas). En ce qui concerne les autres étiologies, le traitement a été sans particularité conforme à la littérature : sténoses et rétrécissements serrées de plus de 1cm ont été traités par uretroplastie ; les scléroses du col de la vessie ont bénéficiées une incision cervico- prostatique ;les lithiases vésicales ont été enlevées par cystostomie soit 1,36%(7cas) ; les tumeurs de vessie envahissant le col ont été réséquées pour l'anapathe et prise en charge secondairement soit 1,55%(8 cas) ; mais les obstructions suite à un Caillotagefr_FR
dc.titleAspects épidémiologiques, étiologiques, thérapeutiques des pathologies obstructives du bas appareil urinaire chez l'homme.fr_FR


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