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dc.contributor.advisorFongoro, Saharé
dc.contributor.authorCoulibaly, Moussa
dc.date.accessioned2023-08-04T16:47:00Z
dc.date.available2023-08-04T16:47:00Z
dc.date.issued2007
dc.identifier.other07M149
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/8077
dc.descriptionThèse d'exercice : Médecine : Bamako : 2007
dc.description.abstractIl s'agit d'une étude prospective et descriptive, essentiellement clinique allant de janvier 2005 à juin 2006 portant sur une population de 45 patients insuffisants rénaux chroniques confirmés, hospitalisés dans le service de néphrologie et d'hémodialyse du CHU du Point G pendant la dite période fixée, ayant bénéficiés d'une échographie cardiaque et/ou d'une échographie doppler cardiaque L'objectif général était d'étudier les caractéristiques cliniques et échocardiographiques de la cardiomyopathie urémique. Nos constats étaient les suivants : la prévalence de la cardiomyopathie urémique dans le service était de 17,8 p.100 . L'âge moyen des patients était de 42 ans plus ou moins 12,68. Le sexe masculin prédominait avec un sex ratio de 1,6 en faveur des hommes. Les signes fonctionnels cardiovasculaires les plus fréquents étaient la douleur thoracique (75 p.100 ), suivie de la dyspnée de décubitus (62,5 p.100 ). Les patients présentant une cardiomyopathie urémique avaient comme principal syndrome clinique cardiovasculaire une insuffisance cardiaque (62,5 p.100 ) suivie de l'OAP (12,5 p.100 ) et de la péricardite urémique (12,5 p.100 ). Il ressort également de notre étude que les facteurs de risque cardiovasculaires prédominants étaient l'HTA (100 p.100 ), le sexe masculin (75 p.100 ), l'anémie (100 p.100 ), les troubles phosphocalciques (87,5 p.100 ) et l'inflation hydrosodée (37,5 p.100 ). L'échographie cardiaque couplée au doppler mettait en évidence une HVG chez 44,4 p.100 des patients et une dilatation des cavités gauches chez 59,9 p.100 des patients, 62,5 p.100 des patients avaient une cardiomyopathie urémique normokinétique. On retrouvait une nette prédominance de la dysfonction systolique sur la dysfonction diastolique avec respectivement 50 p.100 et 12,5 p.100 des cas. L'évolution à long terme était défavorable marquée par un taux de mortalité globale estimé à 50 p.100 soit la moitié des patients.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité de Bamako
dc.subjectCardiomyopathie urémique
dc.subjectSignes cliniques signes échocardiographiques
dc.subjectFacteurs de risque
dc.titlePlace de la cardiomyopathie chez les IRC dans le service de Néphrologie et d'hémodialyse du CHU du Point G
dc.typeThesis


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