Infections Genitales basses à la consultation externes dans le service de Gynéco-obstétrique de l'Hôpital Gabriel Touré : à propos de 200 observations
Résumé
Cette thèse a porté sur l'étude des infections au cours des consultations externes dans le service de Gynéco-obstétrique de l'Hôpital Gabriel Touré. Notre étude a duré 10 mois et a porté sur 200 observations sur un total 2547 consultation gynéco-obstétricales, soit 7,9 p.100. Seules sont recensées les malades qui ont des germes pathogènes dans les prélèvements vaginaux et/ou dans les urines. Notre étude a pour but de déterminer la inférieur à fréquence supérieur à des inférieur à infections génitales basses supérieur à à la consultation externe dans le service de gynéco-obstétrique de definir les différents symptômes de déterminer les différentes étiologies et de definir les modalités de traitement. Dans notre échantillon, l'âge minimum se situe à 12 ans et maximum à 62 ans. La tranche d'âge la plus représentée est 18-35 ans avec 78,5 p.100. Parmi les signes cliniques trouvés chez les malades les inférieur à leucorrhée supérieur às viennnent en tête avec 90 p.100, ensuite viennnent le purit 71 p.100 la douleur 70 p.100 et les troubles de la vie sexuelle 67,5 p.100. Les cervicales contituent une manifestation cliniques après les inférieur à vaginite supérieur às. Nous voulons attirer l'attention de nos patients sur la gravité des cervicales car les lésions cervcales sont entretenues par l'utilisation des differentes subtances septiques au contact du col que les femmes emploient couramment pour lubrifier le vagin au cours des rapports sexuels. C'est un problème délicat nécessitant la sensibilisation, l'éducation sexuelle des femmes, leur expliquer le rôle néfaste de ces produits car ces lésions cervicales à la longue donnent des dysplasies qui dégénèrent en cancer du col. Les examens complementaires étaient effectués par les malades dans différents laboratoires mais principalement à l'INRSP et au point G. Nos resultats en ce qui concerne l'étiologie sont les suivants : Les infections à inférieur à trichomonas vaginalis supérieur à représentent 22 p.100 les inférieur à candidose supérieur às 56,5 p.100, les inférieur à gonococcie supérieur às 13 p.100, les infections à inférieur à Gardnerella vagialis supérieur à 29,5 p.100 les infections à pyogènes 22,5 p.100, les infections à germes multiples représentent 41 p.100. Le traitement guidé par les resultats biologiques et l'antibiogramme a été effectué chez toutes les malades. Le inférieur à contrôle biologique supérieur à a été effectué par 66 patientes soit 33 p.100 de l'échantillon. Le taux de guérison après traitement a été de 83,3 p.100 des contrôles biologiques avec 40,9 p.100 de réinfestation à d'autre germes. Les cas d'échec représentent 16,7 p.100 des contrôles avec 4,5 de ré infestastion à d'autre germes. Pami Les malades ayant effectué le contrôle après traitement 59 p.100 avaient été traitées seules et 41 p.100 traitées avec le partenaire. A noter que les échecs thérapeutiques et réinfestations sont plus fréquentes chez les malades traitées seule (76 p.100) que chez celles traitées avec le partenaire (29,6 p.100) d'ou la nécessité d'un traitement conjugal et extraconjugal s'il exite des rapports extraconjugaux.