Septicemies : place du virus de l'immunodeficence hummaine (VIH) dans le service de medecine interne de l'Hôpital National du Point G
Résumé
Notre étude a concerné des malades hospitalisés dans le inférieur à service de medecine interne supérieur à de l' inférieur à hôpital national du point G supérieur à, sans distinction de sexe. L'étude a duré 12 mois de novembre 1997 à décembre 1998. Nos objectifs ont été d'identifier les germes les plus fréqumment rencontrés au cours des inférieur à septicémie supérieur às, y compris celles associées au inférieur à VIH supérieur à ; décrire les differents signes clinique et les inférieur à complication supérieur às ; d'évaluer la létalité. 24 patients ont été reténus selon les critères d'inclusion (10 cas de septicemies chez les VIH-, 14 cas de septicemies chez VIH+). l'âge moyen a été de 42,5 ans. Ils ont tous béneficié d'un exemen clinique complet, de 2 inférieur à hémoculture supérieur às en fonction de la inférieur à symptomatologie supérieur à presentée par le malade. Au cours de notre étude aucun facteur de risque du VIH n'a été retrouvé. Les antécédents médicaux ont ete dominés par le inférieur à diabète supérieur à et /ou l' inférieur à hypertension arterielle supérieur à (80 p.100) chez les patients septicémiques et par les pneumopathie s42, p.100) chez les patients septicemiques et par les inférieur à pneumopathie supérieur às (49,9 p.100) chez les patients presentant une sepicemie plus VIH+. Leprincipal motif de consultation a étéle syndrome infectieux (78,80 p.100). La triade (fièvre ou hypothermies, AEG, frisson) n'a pas été retrouve de façon systématique chez tous patients. La inférieur à fièvre supérieur à ou l' inférieur à hypothermie supérieur à (100 p.100), AEG (70,90 p.100), frissons (20-22 p.100). La porte d'étrée cutanée a été la plus retrouvée soit 50 p.100 dans les cas de septicemies et 42,85 p.100 dans les cas de septicemies plus VIH+. La inférieur à splenomégalie supérieur à a été retrouvée (7-20 p.100). Les localisation secondaires ont été surtout pleuro-pulmonaires (40 p.100 chez septicemies VIH-, 71,42 p.100 chez les septicemies VIH+). 61,52 p.100 de nos patients ayant le VIH étaient de la classe C (CDC/OMS) et le vih-1 a été le type de VIH le plus dominant (93 p.100) . Les germes plus isolés omt été : staphylococcus aureus supérieur à (25 p.100), inférieur à staphylococcus coagulase negative supérieur à (25 p.100) et inférieur à acinotobacter supérieur à (25 p.100) dans les cas de septicemies chez les VIH- et dans les cas de septicemies ccccchez les VIH+ les germes ont été surtout : inférieur à salmonella enterica supérieur à (30,76 p.100), inférieur à staphylococcus aureus supérieur à (p23,07) et inférieur à staphylococcus coagulase negative supérieur à (23,07 p.100). Ces différents germes étaient sensibles à la majorité des inférieur à antibiotiques supérieur à sauf ampicilline et tiacarcilline. Tous nos patients ont benéficiés d'au moins 2 antibiotiques bactéricides avant ou après le résultat de l'hémoculture. Le choc infectieux a été la plus fréquents complication (50-70 p.100). La létalité a étéde 50 p.100 chez les VIH- et 60 p.100 chez les VIH+.