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dc.contributor.authorFané, Sékou
dc.date.accessioned2023-05-24T07:04:45Z
dc.date.available2023-05-24T07:04:45Z
dc.date.issued2023
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/6533
dc.description.abstractIntroduction : Un trouble électrolytique désigne un déséquilibre entre les entrées et les sorties des ions présents dans l’organisme. Les troubles électrolytiques ont un impact sur les affections psychiatriques, certains troubles tel que la dysnatrémies peuvent égarer le diagnostic, d’autres aggravent le tableau clinique voir engagent le pronostic en cas de retard diagnostic et thérapeutique But : Etudier les aspects épidémiologique, clinique, et thérapeutique des troubles électrolytiques dans le service de psychiatrie du CHU du Point-G. Méthodologie : Il s’agissait d’une étude descriptive et analytique avec recueil des données rétrospectives sur une période de 12 mois d’activité. Elle s’est déroulée du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2022.Etaient inclus tous les patients hospitalisés du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2022 chez qui un des troubles électrolytiques a été diagnostiqué. Résultats : En termes de fréquence générale, 508 patients ont été hospitalisés durant notre période d’étude allant du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2022, dont 53 patients ont développé des troubles électrolytiques soit une fréquence de 10,43%. Une prédominance masculine a été observée avec 62% soit un sex-ratio de 1,65. L’âge moyen des patients était de 34,62 ± 10,84 ans avec des extrêmes allant de 16 à 56 ans. L’insomnie était le premier motif d’hospitalisation retrouvé avec 37,7%. Le signe digestif tel le vomissement a représenté 60,4% suivi du signe neurologique tel la céphalée a représenté 49,1%.L’euvolemie, La déshydratation extracellulaire et la déshydratation intracellulaire ont représentés respectivement 52,9% et 37,7%. L’hypokaliémie a été la plus représenté soit 49% des troubles électrolytiques. Le facteur favorisant le plus représenté était les vomissements soit 45,3% des cas suivi de l’insuffisance d’hydratation 39,6%.Le diagnostic psychiatrique tel que la BDA 45,2% et les troubles liés à la toxicomanie 17% étaient les plus représentées Les troubles électrolytiques n’avait un lien statistique avec le sexe ni l’âge et le diagnostic psychiatrique. Conclusion : Les troubles électrolytiques étaient fréquents chez des patients hospitalisés en psychiatrie, les dyskaliémies étaient les principales troubles électrolytiques les plus représentées dont les facteurs étiologies étaient les vomissements et le défaut d’apport hydrique.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseriesMémoire;
dc.subjectMédecine généralefr_FR
dc.subjectPsychiatriefr_FR
dc.subjectNéphrologiefr_FR
dc.subjectTroubles électrolytiquesfr_FR
dc.titleAspects épidémiologique, clinique et thérapeutique des troubles électrolytiques dans le service de psychiatrie du CHU du Point Gfr_FR
dc.typeOtherfr_FR


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