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dc.contributor.authorDiakite, Kassim S.
dc.date.accessioned2023-04-13T15:07:57Z
dc.date.available2023-04-13T15:07:57Z
dc.date.issued2023
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/6468
dc.description.abstractIntroduction : La maladie mentale est l'ensemble des changements observés chez l'homme au niveau de ses comportements, ses émotions. Ces changements peuvent être secondaires à un trouble biologique, psychologique, sociale ou développemental des fonctions mentales. Elle constitue des moments difficiles quant à la gestion et répercussion sur les patients et son entourage. Au Mali, la maladie mentale ressort sous les appellations de la langue bambara en des termes vernaculaire de « fâ », « kirikirimassin », « hakilitien », kounkolobana ». Objectif : notre objectif était de comprendre la conception de la population urbaine de Bamako sur la maladie mentale. Méthodologie : il s'agissait d'une étude qualitative avec approche méthodologique de cas de février à décembre 2022 ayant concerné la population urbaine de Bamako, l’échantillonnage a été exhaustif, un guide d'entretien a été établi pour l'enquête. Résultats : 68 participants ont été interviewés, ils étaient dans la tranche d'âge de 25-34 ans, de sexe masculin en majorité et résidaient à Bamako. Beaucoup de participants définissait la maladie mentale selon les signes observés. Plusieurs causes ont été alléguées à la survenue de la maladie mentale à savoir la consommation de drogue, les sciences mystiques, la possession, l'hérédité, le destin, le traumatisme physique et psychique, les chocs émotionnels, les précarités, les comportements des femmes enceintes, les maladies somatiques et la maltraitance des enfants. Les acteurs étaient entre autres les guérisseurs traditionnels : marabout, féticheur, pasteur, etc… et les agents de santé. Les moyens de traitement dépendaient des croyances des participants. L'accompagnement social était essentiel quel que soit la voix choisie. Les souhaits des participants étaient des conseils et suggestions aux autorités : de canaliser l'accès aux drogues, prioriser la santé, l'alimentation et de faciliter le coût de la vie. Une collaboration entre les deux systèmes parait essentielle.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseriesMemoire;
dc.subjectPsychiatriefr_FR
dc.subjectSociologiefr_FR
dc.subjectEtudefr_FR
dc.subjectConnaissancefr_FR
dc.subjectPopulation urbainefr_FR
dc.subjectBamakofr_FR
dc.subjectMaladie mentalefr_FR
dc.titleEtude des connaissances de la population urbaine de Bamako sur la maladie mentalefr_FR
dc.typeOtherfr_FR


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