dc.description.abstract | Notre étude s'est déroulée dans l'unité de réanimation de l'hôpital Gabriel Touré entre juin 2013 et mai 2014.cette étude s'est effectuée sur un échantillon de 51 patients. C'était une étude prospective randomisée en simple aveugle, destinée aux malades intubés pendant plus de 24 heures répondant aux critères d'inclusions. Il était question de comparer l'effet de la dexamethasone et du methylprednisolone dans la prévention de l'oedème laryngé post extubation. De notre étude, il en ressort que : parmi les 6 patients sous corticothérapie qui auraient présentés une détresse respiratoire majeure, 66.7 p.100 étaient sous methylprednisolone contre 33,3 p.100 sous dexamethasone. Parmi les 11 patients sous corticothérapie qui auraient présentés un stridor, 63,6 p.100 étaient sous methylprednisolone contre 36,4 p.100 sous dexamethasone. Parmi les 8 patients sou corticothérapie ayant été reintubés, 25 p.100 étaient sous dexamethasone contre 75 p.100 sous methylprednisolone. Parmi les 6 décès dans le groupe dexamethasone, 83,3 p.100 de ces décès étaient imputables au patients ayant présentés un échec d'extubation. On notait 100 p.100 de décès chez les patients ayant eu un échec d'extubation dans le groupe methylprednisolone. Au terme de notre étude, nous n'avons pas noté de différence statistiquement significative quant à la molécule optimale dans la prévention de l'oedème laryngé post extubation du fait de notre faible population d'étude. De ce fait, la molécule optimale reste donc une problématique devant faire l'objet d'une étude de plus grande envergure. | fr_FR |