dc.description.abstract | Au terme de notre étude qui a concernée 14 cas diagnostiqués au service de l’imagerie médicale et traités au service de gyneco-obstetrique de l’hôpital du point g durant une période de 5 mois, nous avons conclu que :
• La fréquence de cette affection est de 1/108.
• L’âge moyen est de 30 ans, avec un maximum de fréquence entre 27 et 36 ans.
• Les nullipares et les paucipares sont les plus atteintes.
• Cliniquement la triade ; retard de règles (.. ,28%), métrorragies (..,90%) et algies pelviennes (.. ,37%) étaient les principaux signes révélateurs de la GEU.
• Le diagnostic précoce de la grossesse extra-urtérine peut être fait grâce au dosage plasmatique de βHCG associé à l’échographie permettant ainsi une prise en charge thérapeutique avant le stade de rupture.
• Le traitement reste dans la majorité des cas, un traitement radical, c’est ainsi que la salpingectomie totale reste le traitement le plus fréquemment pratiqué dans 65,27% des cas.
• Les thérapeutiques actuelles ont tendance à améliorer la fertilité après GEU, mais ne peuvent être proposées qu’aux formes diagnostiquées précocement, c'est-à-dire encore une fois l’intérêt du diagnostic précoce de cette affection. | fr_FR |