dc.description.abstract | Du 1er Septembre 2021 au 31 Août 2022, nous avons colligé au cours de notre étude qui a duré 12 mois, 66 cas de dysfonction érectile au service d'Urologie du CHU Point G sur un effectif total de 890 malades admis dans le service, soit une fréquence de 7.41% (66/890). L’âge moyen des patients était de 48,01 avec des extrêmes de 24 et 77ans. La tranche d’âge de plus de 50 ans était la plus représentée avec 47%. Les commerçants sont exposés dans notre série avec 22,4%. Après interrogatoire le motif de consultation le plus représentée étaient le SBAU avec 69,69% à l´opposition des plaintes de la partenaire qui étaient de 9,09%. Au TR une Prostate hypertrophiée était retrouvée chez 37,87%; Dans la plupart des cas, les résultats de ces examens étaient normaux, ce qui confirme l'origine psychogène de la grande majorité de la DE. Concernant l’évolution 17 sur 66 patients (25,8%) ont retrouvé une érection normale, 30 notaient une amélioration progressive depuis quelques mois soit 45,5% alors que 4 patients présentaient un amendement intermittent soit 6,1% et 5 patients ne notaient pas d’amélioration soit 7,6%. Deux patients (2) ou 3,0%, a plutôt remarqué une aggravation de la dysfonction. Pendant notre période d'étude 9 patients ont été perdu de vu soit 13,6%. Aspect éthique : L'étude a été effectuée sur la base des informations données par les patients, et enregistrées dans des dossiers. Ils étaient venus en consultation au service d'Urologie, et les premiers entretiens avaient lieu dans la salle de consultation, dans une atmosphère de consentement éclairé du patient. Les accompagnateurs étaient priés de ne pas assister à l’entretien, lorsque cela était jugé nécessaire. Bien que relevées sur les fiches d'enquête, les identités des patients et leurs adresses resteront confidentielles et ne feront l'objet d'aucune publication. Mais les données de la fiche d'enquête ont été analysées et commentées, afin de mener à bien notre étude. | |