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dc.contributor.authorJaphet, Dembélé
dc.date.accessioned2023-01-09T10:15:49Z
dc.date.available2023-01-09T10:15:49Z
dc.date.issued2022
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/5842
dc.description.abstractIntroduction : Durant la pandémie de SRAS-CoV2, les personnels soignants sont particulièrement exposés au risque de contamination, nécessitant ainsi des mesures de Prévention et Contrôle des Infections (PCI). Notre étude avait pour but d’étudier les dispositions des personnels des établissements face à cette transmission intra-hospitalière. Objectif : Etudier la problématique de la prévention et de contrôle des infections dans nos structures de santé à Bamako dans un contexte d’infection à SRAS-Cov2. Méthodologie : Étude transversale et analytique, exploitant les données des travailleurs de la santé des quatre hôpitaux de Bamako du 01 Novembre au 31 Décembre 2021.Ces données ont été collectées auprès des agents consentants, et l’analyse statistique des données faite avec les tests de Khi 2 ou le test ANOVA (alpha à 5%). Le protocole a été soumis au comité d’éthique de l’Université avec un accord écrit de l’administration des hôpitaux. Résultats : Durant notre étude, la population d’étude (n = 500) se répartie en professionnels de santé en activité (n = 249, 49,8 %) suivis des non professionnels de santé (n = 142, 28,4 %) et des professionnels de santé en formation (n = 109, 21,8 %) des quatre hôpitaux de Bamako, cet échantillon est majoritairement masculin à 62,02% (n = 311). L’âge moyen de cette population étudier était 33,8 ans avec des extrêmes de 20 à 63 ans. Seulement 37,6% (n = 188) des enquêtés ont déclaré avoir suivi des formations sur la prévention contre les infections notamment le lavage des mains au savon et la friction hydro alcoolique. Plus de la moitié du personnel soit 79,3% (n = 397)ont dit disposer des dispositifs de prévention des infections composés de savons, de SHA ,gant et masques fournis par l’état et partenaires. Par ailleurs, nous avons observé que le triage des déchets n’était pas une pratique généralisée dans 25,4%. Les travailleurs de la santé en activité ont signalé plus d'exposition professionnelle (n = 160, 59%) que les travailleurs de la santé en formation (n = 66, 24%) et les non travailleurs de la santé (n = 45, 17%).Nous avons observé un taux de positivité au test COVID-19 de (71 %, n=20) chez les professionnels en activité (PSA), (18 %, n=5) chez les professionnels en formation (PSF) et (11 %, n=3) chez les NPS. Le port régulier des EPI et la vaccination étaient retrouvés chez 55% à (60,6%, n=151) des PSA. Conclusion : Cette étude a mis en lumière un manque de moyens et ressources, mais aussi un besoin de formation du personnel y compris les non professionnels de santé.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseriesMemoire;
dc.subjectPCIfr_FR
dc.subjectFormationfr_FR
dc.subjectInfections associées aux soinsfr_FR
dc.subjectTransmissionfr_FR
dc.subjectPathogènesfr_FR
dc.subjectPrévention contrôlefr_FR
dc.subjectProblématiquefr_FR
dc.subjectSRAS-CoV2fr_FR
dc.titleProblématique de la prévention contrôle des infections dans nos structures sanitaires à Bamako dans un contexte d’infection à SRAS-CoV2fr_FR
dc.typeOtherfr_FR


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