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dc.contributor.advisorAg Rhaly, Abdoulaye
dc.contributor.advisorDabo, Salimata Konaté
dc.contributor.authorCissé, Mohamed Aly Oumar
dc.date.accessioned2019-03-19T00:16:53Z
dc.date.available2019-03-19T00:16:53Z
dc.date.issued2014
dc.identifier.other14M121
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/539
dc.description.abstractObjectif : Notre étude avait pour but de déterminer le niveau de connaissance des agents en matière de prévention des infections nosocomiales au CHU de KATI ;d’y identifier les dispositifs mis en place pour la prévention des infections nosocomiales ainsi que de décrire le mécanisme de gestion des déchets biomédicaux ; enfin faire des recommandations en vue de l’évaluation des mesures de prévention des infections nosocomiale. Méthodologie : C’est une étude transversale et descriptive qui s’est déroulée de Février à Mai 2009 soit une période de 4 mois chez 83 volontaires toutes catégories confondues. Nous les avons interrogé observé et interviewé. Résultats : Seulement 17,9% des agents auraient reçu une formation en hygiène hospitalière. Ce qui fait que les connaissances et attitudes du personnel s’en trouvent affectées. Ainsi : 100% des agents appliquent le lavage simple des mains, mais seulement 28,6% connaissent la technique. Le savon ordinaire était majoritairement utilisé dans le lavage des mains à 64.3% ainsi que dans le nettoyage du matériel à 98%. Rien que 23.2 % ont présenté des ongles courts. Les bijoux sont présents chez 62.5% des agents pendant les soins ; Quant aux gants ils sont portés par 89.3%, mais les techniques de port et de retrait sont en général non maitrisées. Concernant les autres barrières de protection, elles ne sont généralement pas utilisées, sauf les blouses qui elles sont utilisées par la majorité. Pour les barrières non utilisées, les principales raisons avancées étaient : la non dotation, la négligence et la non nécessité. Pour ce qui est du traitement du matériel, la décontamination, le nettoyage et la désinfection sont généralement appliqués par les participants à plus de 85%. Dans les trois cas, les techniques ne sont pas maitrisées et l’ordre n’est généralement pas respecté. Dans les trois temps, les produits utilisés le sont de façon tout à fait irrationnelle. L’hypochlorite de Na à 0,5% était t le produit de décontamination le plus cité, soit 96.4%. L’alcool à 90° et la Bétadine ont été les désinfectants les plus cités, respectivement dans 80.4% et 53.6% des cas. Par rapport à l’entretien des locaux, environ 60% des agents ont dit que ça ce fait deux fois par jour. Sur le plan des dispositifs de lutte contre les IN, il n’ya pas de dispositions spéciales de lutte contre les IN. Néanmoins 58.9% des agents seraient vaccinés contre l’hépatite B. et 78.6% des agents donneraient des conseils d’hygiène pour les malades. Il ya très peu d’affiches concernant la PIN Par rapport au mécanisme de gestion des DBM, quelques équipements étaient présents, la logistique manquait totalement. L’hôpital possède un seul incinérateur fonctionnel type De Montfort avec une aire d’incinération non adéquate. . Conclusion : Il ressort de notre étude que la notion d’hygiène est présente à l’hôpital de Kati, mais les différents aspects ne sont pas maitrisés ; les dispositifs également sont insuffisants ainsi que les mécanismes de gestion des déchets.
dc.description.abstractKonaté, Salimata
dc.description.abstractAg Rhally, Abdoulaye
dc.subjectInfections nosocomiales
dc.titleEvaluation des mesures de prévention des infections nosocomiales au CHU de Katifr_FR


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