dc.description.abstract | C'était une étude transversale à visée descriptive de 12 mois ayant pour objectif général l'étude descriptive de la notification des événements indésirables médicamenteux (EIM) au CNAM-CVD Mali de Bamako en 2012. Pour parvenir aux objectifs, le travail a été axé sur la détermination de la connaissance des praticiens sur la PV d'une part et sur l'estimation de l'adhésion des praticiens à la notification spontanée d'autre part. Au terme de cette étude, il a été constaté une sous notification dans les services cliniques du CNAM/CVD-Mali. La fréquence était de 38,09 p.100 et une fréquence par service de: 22,58 p.100 en dermatologie, 81,82 p.100 en USAC et 0 p.100 en léprologie. Les étudiants ont été les plus interviewés avec 56,3 p.100 suivis des médecins avec 31,3 p.100 . Au cours de cette étude 81,3 p.100 des praticiens avaient déjà entendu parler de la pharmacovigilance (PV) dont 53,1 p.100 ne connaissent pas l'existence d'un système de vigilance au Mali. Parmi ceux qui ont entendu parler de la PV seulement 40,6 p.100 connaissent son siège. Comme support de notification, fiche de notification était connue par 56,3 p.100 des praticiens. Les prescripteurs ont été cités dans 53,1 p.100 des cas comme notificateur des EIM. Les participants ayants affirmés que tous les EI doivent être notifié étaient 56,3 p.100 . Dans leur pratique 58,1 p.100 des praticiens ont déjà rencontrés un EI. Concernant la qualité de la notification, il a été observé selon la graduation de l'OMS : Grade 1(31,3 p.100 ) Grade 2(62,5 p.100 ) Grade 3(6,3 p.100 ). Les molécules les plus citées étaient: les antirétroviraux (56,3 p.100 ), les Anti Inflammatoires Non Stéroidiens (18,8 p.100 ), les Antibiotiques (31,3 p.100 ). | fr_FR |