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dc.contributor.advisorTraoré, Sékou Fanta Mady
dc.contributor.advisorDiallo, Adama
dc.contributor.authorPona, Adama
dc.date.accessioned2025-04-10T13:40:31Z
dc.date.available2025-04-10T13:40:31Z
dc.date.issued2017
dc.identifier.other17M22
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/14274
dc.description.abstractLes schistosomes ou bilharzioses constituent la deuxième endémie parasitaire mondiale après le paludisme, 200 millions de personnes dans 74 pays ont besoin d'un traitement annuel, 80 à 90% d'entre elles vivent en Afrique. 500 000 à 1million décès par an, plus de 700 million de personnes sont à risques de cette parasitose [1]. D'après l'Organisation Mondiale de la Santé, OMS (2009) plus d'un milliard de personnes souffrent de Maladies Tropicales Négligées (MTN), principalement les populations pauvres qui vivent dans les régions tropicales et subtropicales [5]. Dans le monde, 4,2 milliard de personnes sont à risque de Maladies Tropicales Négligées (MTN) [36]. Ce travail est l'étude à viser didactique, c'est dans cet ordre d'idée que nous avons pris l'initiative de faire la mise au point sur les connaissances du diagnostic et le traitement de la schistosomose en tant que maladie tropicale négligée, à travers une revue documentaire. Au 94 terme de notre étude, nous avons constaté que des efforts ont été ressentis sur le diagnostic, avec plusieurs techniques de diagnostic direct (examen direct, les techniques de concentrations. la méthode de kato-katz, l'utilisation des bandelettes réactives) et les techniques d'examen indirect (HAI, IFI, ELISA, Western blot été…). En plus, il faut ajouter les tests de diagnostic rapides (la recherche d'Antigène Cathodique Circulant et Antigène Anodique Circulant), cette recherche antigénique permet de poser le diagnostic en moins d'une demi-heure. Ailleurs on a la biologie moléculaire (Polymérase Chain Réaction) qui permet de détecter l'ADN du parasite. Au Mali des résultats ont montré preuves en ce qui concerne le traitement de certaines maladies tropicales négligées : la filariose lymphatique, l'onchocercose, le trachome, et la schistosomose comme nous le montre l'actuel plan stratégique de lutte contre les Maladies Tropicales Négligées (2012-2016). Certes d'autre part quelques négligences ont été révélées du point de vu thérapeutique concernant la fabrication d'antibilharziens. A l'image de l'historique des antibilharziens nous avons constaté que l'écart énorme qui s'installait de 1920 (avec l'émétine) à 1955 (avec la métrifonate) était de 35ans. La moyenne arithmétique de l'année année de fabrication des antibilharziens est de 8,9 sensiblement égale à 9ans. Le praziquantel (la molécule de référence thérapeutique de la schistosomose) est fabriqué depuis 1977. Et pourtant la schistosomose est la deuxième endémique parasitaire après le paludisme selon les résultats ci-dessus. Par contre à l'instar de certaines maladies infectieuses telles que le paludisme et le VIH, de nouvelles molécules thérapeutiques se pointent à l'horizon au fil des années. De ce fait la négligence apparait. Donc la lutte contre les maladies tropicales négligées est à revoir avec les industries pharmaceutiques, pour une éradication totale de ces pandémies. Nous avons exploité le système dit de "Vancouver", utilise des citations numériques qui renvoient à un numéro d'apparition dans la liste bibliographique (classement par ordre d'apparition dans le texte). Celui-ci est différent du système Harvard qui se fait selon la Classification alphabétique.
dc.format.extent102 p.
dc.language.isoFr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectSchistosomose
dc.subjectMaladies tropicales
dc.subjectMali
dc.titleLes maladies tropicales négligés : Cas de la schistosomoses. Revue des connaissances sur le diagnostique et le traitement
dc.typeThesis


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