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dc.contributor.authorTraoré, Boubacar
dc.date.accessioned2025-01-23T09:30:13Z
dc.date.available2025-01-23T09:30:13Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13816
dc.description.abstractObjectifs : Evaluer la place de l’échographiste dans la prévention, le diagnostic et la prise en charge du Syndrome d’hyperstimulation ovarienne. Cadre et méthode d’étude : Il s’agissait d’une étude rétrospective descriptive et multicentrique qui s’est déroulée de mars 2018 à mars 2022 soit une période de 4 ans qui a inclu 350 patientes reçues pour procréation médicalement assistée. Résultats : La prévalence du SHSO était de 08,60 % (350 patientes). La tranche d’âge 18-25 était la plus représentée. L’AMH était élevé chez 13,1% de la population, 86% avaient un nombre de follicules supérieur ou égal à 20 à l’échographie initiale,96,7 % de celles qui avaient fait le SHSO présentaient des épanchement séreux associée à au moins cinq gros follicules de plus de 3 cm. Au cours de notre étude nous n’avons pas trouvé de complications graves liées au SHSO. Conclusion : L’échographie a été d’une importance capitale dans la prévention, le diagnostic et la prise en charge du SHSO car elle nous permet d’agir en amont et en aval.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24M394;
dc.subjectEchographiefr_FR
dc.subjectHyperstimulationfr_FR
dc.subjectPréventionfr_FR
dc.subjectClinique Fertilia de Bamakofr_FR
dc.titlePlace de l’échographie dans la prévention, le diagnostic et la prise en charge du syndrome d’hyperstimulation ovarienne.fr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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