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dc.contributor.authorDao, Adama
dc.date.accessioned2025-01-07T10:20:19Z
dc.date.available2025-01-07T10:20:19Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13715
dc.description.abstractL’étude s’est déroulé dans le service de chirurgie générale du CSRéf de Bougouni. Nous avons effectué ce travail dans le but de décrire les aspects diagnostiques et thérapeutiques des péritonites par perforation gastroduodénales au CSRéf de Bougouni à travers une série de 53 patients. OBJECTIFS : Les objectifs de notre étude étaient Déterminer la fréquence des péritonites par perforation gastrique et ou duodénales au CSRéf de Bougouni ; Décrire les aspects cliniques et para cliniques ; Identifier les facteurs étiologiques ; Décrire les modalités de prise en charge. METHODOLOGIE : Il s’agissait d’une étude descriptive transversale à collecte rétrospective et prospective des données qui s’est étendu de janvier 2019 à décembre 2023, porté sur 53 cas de péritonite par perforation gastrique ou duodénale. Tous les patients de tous les âges admis et opérés dans le service pour péritonites par perforation gastriques et ou duodénales confirmée à la laparotomie. RESULTATS : Durant la période d’étude nous avons colligé 53 cas de péritonite par perforation gastroduodénale qui a représenté 9,39% des péritonites, toutes les étiologies confondues. La tranche d’âge de 30-59 ans était la plus représentée soit 58,5% ; les âges extrêmes étaient de 10 à 80ans. La moyenne d’âge a été de 39,4 ans avec un écart type de 16,016. La prédominance masculine était nette (sex-ratio=5,8). La majorité des malades, sont venus au csréf à moins de 7 jours d’évolution des symptômes soit 62%. Le principal facteur de risque a été la notion de prise d’AINS soit 43,4%. Les signes cliniques et para cliniques en faveur d’une perforation gastroduodénale ont été : l’antécédent d’épigastralgie confirmé 64,2%, ulcère gastroduodénal confirmé (7,5%) ; une notion de prise de médicaments gastro toxique (43,4%) ; la douleur abdominale (100%) ; la contracture abdominale (79,2%) ; une disparition de la matité pré hépatique (64,2%) ; un pneumopéritoine à l’ASP (60,4%). L’excision-suture simple a été la technique opératoire la plus utilisée (77,4%). En post opératoire (100%) de nos patients ont reçu un traitement médical antiulcéreux. Les suites opératoires ont été simples dans 84,9%. L’évolution est marquée par la suppuration pariétale (3,8%), le retard de cicatrisation (3,8%). Dans notre étude nous avons enregistré 4 décès la mortalité était de (7,5%). Cela serait lié à la pratique de la médecine traditionnelle ; aux erreurs diagnostiques prolongeant le délai opératoire et au manque de moyens financiers.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24M285;
dc.subjectPéritonitefr_FR
dc.subjectPerforation gastriquefr_FR
dc.subjectDuodénumfr_FR
dc.subjectUlcèrefr_FR
dc.subjectChirurgiefr_FR
dc.titlePéritonites par perforation gastroduodénale au csréf de Bougounifr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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