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dc.contributor.authorFianyoh, Kokou Messan Anaïs Jordane
dc.date.accessioned2025-01-06T08:33:51Z
dc.date.available2025-01-06T08:33:51Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13705
dc.description.abstractIntroduction : La douleur est la première cause de consultation en médecine générale et dans les services d’accueil d’urgence. Son évaluation pré, per et post-thérapeutique requiert une particularité pour sa prise en charge d’où l’optique de réaliser ce travail. Méthodologie : Il s’agissait d’une étude descriptive transversale et analytique à collecte prospective allant du 1er Octobre 2023 au 31 Mars 2024 dans le service de Médecine interne du CHU du Point G. Ont été inclus les patients hospitalisés, présentant une douleur dès l’admission et ceux, durant le séjour d’hospitalisation. Résultats : Durant cette période il y avait 286 patients hospitalisés. Au cours de notre enquête nous avons colligé 62 patients qui présentaient une douleur soit une fréquence hospitalière de 21,67 % de toute la population d’étude. Nous avons colligé 62 patients algiques sur 286 soit une fréquence de 21,67%. Le sexe féminin était de 61,3%. 43,5% avaient comme profession, femme au foyer.la tuméfaction des MI était le motif dominant dans 19,35%. La douleur était au niveau de l’abdomen dans 24,2% des cas. Elle était aigue dans 72,6% des cas. Une échelle d’évaluation était utilisée à l’admission dans 77,4% dont 45,8% avec EVA. La douleur était intense dans 37,6% des cas. Dans 61,3% des cas, la douleur était inflammatoire.58,1% des patients. Les patients avaient recours à la tradithérapie dans 58,1% des cas. L’antalgique de palier II était le médicament le plus prescrit par le médecin dans 33,9% des cas. Après le traitement, l’intensité de la douleur était modérée dans 52,1% des cas. Il y a eu changement d’antalgique dans 64,58% des cas. Il y avait persistance de la douleur dans 36% des cas. A l’issu de quoi l’antalgique de palier III était la molécule de substitution dans 41,7%.27,3% représentaient les pathologies digestives qui étaient majoritaire. Conclusion : La douleur est le motif de consultation le plus fréquent, qui le plus reste une douleur d’alarme mais tard reste une douleur maladie.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24M375;
dc.subjectDouleurfr_FR
dc.subjectMédecine Internefr_FR
dc.subjectNeurologiefr_FR
dc.subjectCHU Point Gfr_FR
dc.titleEvaluation de la douleur chez les patients en Médecine interne du CHU du Point Gfr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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