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dc.contributor.authorWandji Ngueyep, Melissa Danielle
dc.date.accessioned2025-01-06T08:32:39Z
dc.date.available2025-01-06T08:32:39Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13700
dc.description.abstractIntroduction : L’objectif de ce travail était d’étudier l’épidémiologie de la maladie rénale chronique dans le service de néphrologie du CHU du point G. Matériels et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective et descriptive portant sur 351 dossiers médicaux sur la maladie rénale chronique dans le service de néphrologie et d’hémodialyse du CHU du point G. Ceci durant une période d’une année allant du 1er janvier au 31 Décembre 2022. Résultats : La prévalence de la maladie rénale chronique dans notre étude était de 49,50% des cas. La tranche d’âge de 21 à 40 ans représentait 44,18% des cas ; l’âge moyen a été 38,09 ± 15,268 ans avec des extrêmes allant de 6 et 80ans. HTA a été le terrain majoritaire dans 59,8% des cas. La maladie rénale chronique était par ordre de croissance l’insuffisance rénale chronique (95,16%) ; la protéinurie (95,06%), l’atrophie rénale (69,9%), la leucocyturie (50,84%), l’hématurie (18,9%) kystes simples (7,22%), les lithiases rénales (3,47%) et la PKAD (2,26%) . La néphropathie initiale a été dominé dans respectivement néphropathie vasculaire chronique d’origine hypertensive, glomérulonéphrite chronique idiopathique, la néphropathie tubulo-interstitielle chronique dans 33,04% ; 25,92% ; 11,68% des cas. La maladie rénale chronique était au stade terminal dans 87,2%. Le stade 5 de la maladie rénale chronique était présent dans la tranche d’âge de 21 à 40 ans dans 44,3% des cas. Les inhibiteurs de la pompe a proton, le carbonate de calcium, les antihypertenseurs, la transfusion et l’érythropoïétine étaient les traitements médicales dans respectivement 94,5% ; 81,19% ; 65,52% ; 30,19% et 5,9%. L’hémodialyse a été réalisée dans 58,2% des cas et l’évolution était favorable dans 66,38% des cas, les décès n’étaient pas liés à la néphropathie initiale. Conclusion La maladie rénale chronique est fréquente et de mauvais pronostic surtout dans un contexte de ressources limitées. Dans notre étude, la plupart des patients venait déjà au stade terminal de l’IRC et les marqueurs d’atteinte rénale retrouvés étaient par ordre de croissance : l’IRC, la protéinurie, l’atrophie rénale, la leucocyturie, l’hématurie, les kystes simples, les lithiases rénales et la PKAD. La maladie rénale chronique atteint préférentiellement l’adulte jeune socialement actif, sans niveau d'instruction et de niveau socio-économique bas. L’hypertension artérielle était incriminée comme l’étiologie principale et les décès n’étaient pas liés à la néphropathie initiale. Sa prise en charge reste difficile dans notre contexte surtout au stade terminal ; plus de la moitié des patients ont été pris en hémodialyse.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24M307;
dc.subjectNéphrologiefr_FR
dc.subjectHémodialysefr_FR
dc.subjectEpidémiologiefr_FR
dc.subjectMaladie rénale chroniquefr_FR
dc.subjectNéphrologiefr_FR
dc.titleEpidémiologie de la maladie rénale chronique dans le service de néphrologie et d’hémodialyse du CHU du point G.fr_FR
dc.typeOtherfr_FR


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