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dc.contributor.authorKoné, Yaya
dc.date.accessioned2024-12-31T11:01:22Z
dc.date.available2024-12-31T11:01:22Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13640
dc.description.abstractEvaluer l’impact de la prise en charge des fasciites nécrosantes dans le district sanitaire Kati. Patients et Méthodes : Il s’agit d’une étude descriptive et analytique rétro prospective, allant 1er janvier 2018 au 30 avril 2024. Elle a été réalisée dans le service de chirurgie générale et viscérale du C.SRéf de Kati. Etaient inclus dans l’étude Tout patient ayant été admis dans le service pour une dermohypodermite bactérienne nécrosante DHB-FN, pendant la période d’enquête et dont les dossiers étaient complets. Les paramètres analysés furent les données sociodémographiques, la fréquence, l’aspect clinique, paraclinique, thérapeutique, et les suites thérapeutiques. Les tests de Khi2 et le student ont été utilisés pour la comparaison avec un seuil de positivité à 0.05. Résultats : Nous avons enregistré 1834 consultations, 650 hospitalisations, 600 interventions chirurgicales. Parmi les consultations, la fasciite nécrosante représentaient 1,59%. Il y’avait autant d’hommes et femmes sex-ratio 1,07 H/F. L’âge moyen était de 34 ans avec des extrêmes de 1 an et 63 ans. Une porte d’entrée notée chez 20 patients sur 29. Les pathologies médicale commorbides et facteurs de risque associées était le diabète (n=4), l’obésité(n=4), érysipèle(n=4), l’usage des dermocorticoïdes (n=12), la prise d’AINS (n=2), la notion de traitement traditionnel (n=12) et un alcoolique (n=1). Le délai moyen de consultation était de deux semaines 55,20%. La zone de prédilection des lésions a été le membre inferieur avec une prédominance du pied soit 74,41%. Le diagnostic était clinique avec la triade classique du stade tardif : hypo ou anesthésie cutanée, tuméfaction inflammatoire du membre et placard nécrotique. Une nécrosectomie effectuée chez tous les malades, l’heure suivant l’admission suivie d’antibiothérapie : l’amoxicilline-acide clavulanique, la ceftriaxone et le métronidazole. Une guérison sans séquelles inférieur à 3 mois. Conclusion : La fasciite nécrosante est une urgence médico-chirurgicale a évolution rapide et foudroyante dont la prise en charge chirurgicale précoce et l’antibiotique adaptée permet d’améliorer le pronostic vital.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24M333;
dc.subjectChirurgie générale et viscéralefr_FR
dc.subjectFasciite nécrosantefr_FR
dc.subjectNécrosefr_FR
dc.subjectNécrosectomiefr_FR
dc.subjectC.SRéf de Kati.fr_FR
dc.titlePrise en charge de la fasciite nécrosante au centre de santé de référence de Kati.fr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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