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dc.contributor.authorHassana, Togo
dc.date.accessioned2024-11-01T06:56:29Z
dc.date.available2024-11-01T06:56:29Z
dc.date.issued2023
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13552
dc.description.abstractNos résultats montrent que l'hépatite B était la plus fréquente des infections virales (VIH ; VHB et VHC) chez les 2542 patients hospitalisés dans le service de néphrologie du CHU du point G avec une séroprévalence de 1,10%. Cette prédominance est suivie de celle de l'infection par le VIH avec 0,90%. Par contre la séroprévalence de l'infection par VHC était relativement faible 0,20%. Quant à la co-infection, elle était inexistante. Ces donnés nous incitent à une meilleure application des règles d’asepsie et un contrôle très rigoureux des soins. La corrélation entre la positivité des marqueurs sérologiques de l'hépatite B et de l'hépatite C et/ou du VIH incite à un dépistage rigoureux de ces infections par la recherche de ces marqueurs et d'entreprendre le plutôt possible une vaccination contre l'hépatite B ainsi l’initiation précoce du Traitement ARV si indication. Toutes ces mesures devraient permettre de prévenir la contamination en attendant de trouver un vaccin contre le VHC.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries23M192;
dc.subjectÉpidémiologiefr_FR
dc.subjectHépatites virales B, Cfr_FR
dc.subjectVIHfr_FR
dc.subjectNéphrologiefr_FR
dc.titleÉpidémiologies des hépatites virales B, C et du VIH dans le service de néphrologie du CHU Point Gfr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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