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dc.contributor.authorCoulibaly, Karim
dc.date.accessioned2024-08-08T09:13:05Z
dc.date.available2024-08-08T09:13:05Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13418
dc.description.abstractFiche signalétique : La candidose vulvovaginale est une atteinte de la vulve et du vagin par des levures du genre Candida. Elle est caractérisée par un prurit vulvaire et des leucorrhées blanchâtres, caillebottées. La candidose vulvovaginale constitue un motif fréquent de consultation chez les femmes séropositives au VIH qui fait d’elle une pathologie non négligeable. Notre étude s’est déroulée au centre de soins, d’animation et de conseils pour les personnes atteintes du VIH/SIDA (CESAC) de Bamako. Nous avons mené une étude transversale chez les femmes séropositives au VIH/SIDA venues en consultation au CESAC du 08 Juin au 05Juill 2022. Nous avons au total inclus 280 femmes supposées avoir des leucorrhées en faveur d’une candidose vulvovaginale. Une fiche d’enquête comportant les signes cliniques, les paramètres démographiques et les informations permettant de mieux diagnostiquer l’infection a été remplie après l’obtention d’un consentement. Deux prélèvements ont été effectués chez chaque femme (l’un pour l’examen direct et l’autre pour la culture) pour le diagnostic mycologique au laboratoire de mycologie du MRTC dans l’enceinte de la faculté de médecine et d’odontostomatologie. L’examen direct a permis d’observer les levures et des filaments mycéliens dans les prélèvements vaginaux chez certaines femmes. Les différentes espèces de Candida ont été isolés par ensemencement sur le milieu de Sabouraud-Chloramphénicol (SC) et étuvés à une température de 25-30ºc pendant une période de 24-48 heures. L’identification a été basée sur les caractéristiques macroscopiques et microscopiques des colonies en plus du test de blastèse et l’utilisation de l’automate VITEK® 2 Compact. Deux cent quatre-vingt femmes ont été inclues dans l’étude. La fréquence de la candidose est très élevée quel que soit la tranche d’âge et elle concernait une femme sur deux. Le VIH a été le seul facteur de risque impliqué tandis que la profession ménagère serait un facteur protecteur. Toutes les patientes ont été traité selon l’approche syndromique dont les performances sont faibles d’où l’intérêt de faire un examen mycologique avant tout traitement pour une meilleurs pise en charge. Le Candida albicans a été l’espèce la plus incriminée suivi de C. glabrata. Le Candida albicans est l’espèce dominante suivi de C. glabrata dans cette étude. Le diagnostic de cette infection est basé sur les signes cliniques et l’examen mycologique. Mots clés (Candida, Candidose vulvovaginale, prévalence, identification).fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24M142;
dc.subjectProfil épidémiologiquefr_FR
dc.subjectCandidafr_FR
dc.subjectCandidose vulvovaginalefr_FR
dc.subjectARCAD/CESACfr_FR
dc.titleProfil épidémiologique des espèces de Candida responsables des candidoses vulvovaginales à l’ARCAD/CESAC de Bamakofr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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