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dc.contributor.authorDiepkilé, Hamidou Ibrahim
dc.date.accessioned2024-03-21T09:34:33Z
dc.date.available2024-03-21T09:34:33Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/13007
dc.description.abstractIntroduction : Selon l'OMS, toute baisse de l’acuité visuelle corrigée du meilleur oeil inférieur à 5/10 est définie comme déficience visuelle. Les causes peuvent être congénitales ou acquises. Les causes congénitales sont dominées par les dystrophies cornéennes qui sont généralement héréditaires, Les causes acquises peuvent être infectieuses ; nutritionnelles ; inflammatoires ; dégénératives ; traumatiques ; iatrogènes. Objectif : Décrire les aspects épidémiologiques et cliniques des déficiences visuelles par atteinte d’origine cornéenne chez les patients vus au CHU- IOTA/ Unité surface oculaire. Méthodologie : Notre étude a eu lieu au Centre Hospitalier Universitaire de l’Institut Ophtalmologique Tropicale d’Afrique (CHU-IOTA). Il s’agissait d’une étude transversale, prospective descriptive allant du 17 juillet au 17 Novembre 2023 (pour une période de 5 mois). Notre population d’étude concernait Tous les patients atteints de déficience visuelle consultant au CHU-IOTA au niveau de l’unité surface oculaire. Résultats : Nous avions colligé 75 patients (93 Yeux) parmi 103 consultants de l’unité de surface oculaire ; soit une Fréquence = 72,8 %. L’âge moyen a été de 34,12 ans ± 22,76 ans avec des extrêmes allant de 1 et 90 ans. La tranche d’âge la plus représentée était celle des 20 à 29 ans avec 20%. Les sujets de moins de 50 ans ont représenté 70,6%. Le sexe masculin était le plus représenté avec 66,7% des cas et un sexe ratio H/F coté 2. Les cultivateurs ont été les plus retrouvés avec 21,3%. La majorité de nos patients n’avait pas d’antécédents personnels ; ce pendant une notion de traumatisme oculaire ; de chirurgie de la cataracte et la présence de GPAO étaient respectivement de 32% ; 10,7% et de 5,3%. La plupart des patients, soit 54,7%, avait effectué un traitement médical local à long terme, le plus fréquent à base d’anti-inflammatoire non stéroïdiens ou stéroïdiens en automédication ou par prescription médicale. OD était le plus atteint avec 49,3% ODG= 24%. Selon la classification de l’OMS, nous avons trouvé des déficiences visuelles légères de 5,5% ; modérées à 27,8% ; sévères à 38,9%. Les traumatismes et les infections ont été les principales causes avec respectivement 77,4% et 22,6% des cas. Conclusion : Ainsi, au regarde de la variété étiologique des déficiences visuelles cornéennes et de leur gravité très élevée dans nos milieux de vie, il convient de les considérer comme une priorité sanitaire impliquant les institutions et les communauté et l’accent devrait être mis sur la prévention, la prise en charge des affections causalesfr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24M12;
dc.subjectSanté Publiquefr_FR
dc.subjectEpidémiologiefr_FR
dc.subjectParasitologiefr_FR
dc.subjectBiostatistiquefr_FR
dc.subjectAcuité visuellefr_FR
dc.subjectDéficiences visuellesfr_FR
dc.subjectCornéefr_FR
dc.subjectCHU-IOTAfr_FR
dc.titleAspects épidémiologiques et cliniques des déficiences visuelles d’origine cornéenne au CHU-IOTAfr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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