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dc.contributor.authorDiarra, Bakary
dc.date.accessioned2024-02-08T12:58:46Z
dc.date.available2024-02-08T12:58:46Z
dc.date.issued2024
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/12848
dc.description.abstractIntroduction : La GEU reste la première cause de mortalité du premier trimestre de la grossesse malgré les progrès réalisés dans le diagnostic précoce. Devant l’ampleur et le degré de gravité de la pathologie, nous avons initié ce travail pour actualiser les connaissances au Centre de santé de référence de la commune CVI du district de Bamako. Notre objectif était d’étudier les aspects épidémio-cliniques, thérapeutiques, pronostiques et anatomopathologiques de la grossesse extra-utérine. Matériel et méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive et analytique avec collecte rétrospective des données qui s’est déroulée dans le service de gynécologie et d’obstétrique du Centre de Santé de Référence (CS Réf) de la commune CVI allant du 1er janvier 2021 au 31 décembre 2022 soit une durée de 24 mois. Nous avons inclus des cas répondant à nos critères d’inclusion. Résultats : Au cours de notre étude nous avons colligé 195 cas de GEU sur 16400 grossesses soit une fréquence de 1,19 %. L’âge moyen était de 27 ± 2,5 ans avec des extrêmes de 15 ans et 45 ans. Les femmes au foyer étaient les plus représentées avec 84, 1 %. L’ethnie Bambara était prédominante soit 58,5% des cas. L’association douleur pelvienne, aménorrhée et métrorragie représentait 40,5% des cas. Les paucipares étaient les plus représentées avec 37,4 % cas. La vulvo-vaginite était le type d’infection génitale le plus représenté soit 78,2 %. L’anémie était présente chez la majorité de nos patientes soit 78,6 %. L’association épanchement rétro-utérin et image latéro-utérine a été retrouvée dans 60 % des cas. Le diagnostic retenu a été la GEU rompue soit 93,3% des cas. Le traitement était chirurgical soit 97,9% des cas. La salpingectomie subtotale a été réalisée chez 94,2% des cas. Dans notre étude, nous avons enregistré un cas décès. À l’histologie la grossesse tubaire représentait 53,3 % des cas. Conclusion La GEU constitue un problème de santé publique dans nos pays, lié à une augmentation croissante de sa fréquence. L'association douleur pelvienne, aménorrhée et métrorragie a constitué le principal tableau clinique. L’issue de cette pathologie est favorable dans la majorité des cas si le diagnostic est précoce avec prise en charge adéquatefr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherUSTTBfr_FR
dc.relation.ispartofseries24M16;
dc.subjectAnatomie pathologiefr_FR
dc.subjectGynécologiefr_FR
dc.subjectSanté Publiquefr_FR
dc.subjectGrossesse extra-utérinefr_FR
dc.subjectEpidémio-cliniquefr_FR
dc.subjectPronosticfr_FR
dc.subjectPronosticfr_FR
dc.subjectThérapeutiquefr_FR
dc.titleGrossesse extra-utérine : aspects épidémio-cliniques, thérapeutiques, pronostiques et anatomopathologiques au Centre de Santé de Référence de la commune CVI du district de Bamakofr_FR
dc.typeThesisfr_FR


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