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dc.contributor.authorCoulibaly, Ibrahima Gagny
dc.date.accessioned2023-12-26T10:41:23Z
dc.date.available2023-12-26T10:41:23Z
dc.date.issued2023
dc.identifier.other23M513
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/12618
dc.description.abstractObjectif: L’objectif de cette étude était d’évaluer les suites opératoires du traitement chirurgical de l’hypertrophie bénigne de la prostate au service d’urologie de l’hôpital Nianankro Fomba de Ségou. Matériels et méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale descriptive dont la collecte s’est déroulée du 1er Janvier 2022 au 31 Décembre 2022. Ont été inclus dans notre étude, tous les patients vus en consultation d’urologie et ayant subi une prise en charge chirurgicale de l’hypertrophie de la prostate dans le service d’urologie de l’hôpital Nianankoro Fomba de Ségou. Les analyses ont été effectuées à l'aide SPSS version 21. Résultats : Notre étude nous a permis d’observer une fréquence hospitalière de 41,90% cas d’adenomectomie. La majorité des patients était âgée de 61 à 70 ans (52,5%). Notre étude rapporte que 52,5% des malades sont venus d’eux même à la consultation externe, La dysurie (n=59) était le motif de consultation le plus courant suivie de la pollakiurie (n=52). La rétention aiguë d’urine (n=39) était le symptôme mictionnel prédominant suivie de la dysurie (n=26). La Bilharziose urinaire (n=44) était l’antécédent médical prédominant suivie de l’HTA (n=10). Le toucher rectal a permis d’évoquer une hypertrophie prostatique d’allure bénigne dans 97,5%. Le dosage de l’antigène spécifique de la prostate (PSA) a été demandé chez tous nos malades et était normal chez 62,5% de nos patients et compris entre 4-10 ng/dl chez 22,5%. L’échographie était l’examen radiologique le plus réalisé dans notre étude. La rachianesthésie a été notre type d’anesthésie dans la majorité des cas sois chez 92,5% des patients. L’examen anatomopathologique réalisé chez 61 de nos patients a révélé un adénomyome dans 93,5%. La totalité de nos malades ont été opérés par voie haute selon la technique de FREYER HRYNTSCHAK. Les suites opératoires ont été simples dans 96,3 % des cas. Conclusion : Nous avons observé une fréquence hospitalière non négligeable d’adénomectomie de la prostate (30,6%). La technique de FREYER HRYNTSCHAK a été la seule technique utilisée dans notre service. Les suites ont été simples chez 96,3% de nos patients
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectUrologie
dc.subjectSuites opératoires
dc.subjectHBP
dc.subjectSégou
dc.titleAnalyse des suites opératoires de l’hypertrophie bénigne de la prostate dans le service d’urologie de l’Hôpital Niananankoro Fomba de Ségou
dc.typeThesis


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