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dc.contributor.authorMaiga, Mariam
dc.date.accessioned2023-09-20T09:49:56Z
dc.date.available2023-09-20T09:49:56Z
dc.date.issued2023
dc.identifier.other23M149
dc.identifier.urihttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/12247
dc.description.abstractIntroduction : La cardiotoxicité est toute atteinte cardiaque provoquant un dysfonctionnement électrophysiologie ou des lésions musculaires secondaires à l’utilisation d’un médicament. Le but de ce travail était d’étudier les effets cardiovasculaires des drogues utilisées au cours de la chimiothérapie. Méthodologie : Nous avons mené une étude transversale, analytique et prospective réalisé dans le service de cardiologie du CHU-ME « Le Luxembourg ». Nous avons évalué la fraction d’éjection ventriculaire gauche au départ, à 3mois et à 6mois de chimiothérapie chez les patients inclus. Résultats : Nous avons colligé 30 patients répondant aux critères d’inclusion La tranche d’âge de 40 à 49 ans a été la plus représentée avec 30% des cas. L’âge moyen était de 43±5 ans Les femmes ont été les plus représentées, avec 93,3% des cas ; soit un sex-ratio de 0,07, dont la majorité était ménagère avec 66,7% des cas. Le facteur de risque le plus important était la sédentarité. La dyspnée et les palpitations étaient retrouvées respectivement dans 70% des cas chacune. La tumeur du sein a été la plus représenté avec 60% des cas. L’ECG est revenu normal dans 83,3% des cas, en pré-chimiothérapie. La fraction d’éjection du ventricule gauche était conservée chez 90 % de nos patients, à l’échocardiographie transthoracique initiale (avant le début de la chimiothérapie). A 3 mois de chimiothérapie, une baisse de 10 % de la FEVG a été observée chez 10 % de nos patients. A 6 mois de chimiothérapie une baisse de 10 % de la FEVG a été observée chez 13 patients ; soit un taux de 43 %. Aussi, une élévation des PRVG a été observée chez 5 patients ; soit un taux de 17 %. Nous avons constaté un cas d’embolie pulmonaire, un cas de péricardite et deux cas de cardiomyopathie dilatée. Conclusion : la chimiothérapie peut être responsable d’une toxicité cardiaque au cour de la chimiothérapie voir 10ans après la chimiothérapie, d’où la nécessité d’un suivi régulier. Une détection précoce améliore le pronostic.
dc.language.isofr
dc.publisherUniversité des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako
dc.subjectCardiologie
dc.subjectCardiotoxicité,
dc.subjectChimiothérapie
dc.subjectFraction d’éjection du ventricule gauche
dc.subjectTraitement
dc.subjectSurveillance
dc.titlePronostic cardiovasculaire des patient sous chimiothérapie suivi dans le service de cardiologie du CHU-ME LE LUXEMBOURG
dc.typeThesis


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