dc.description.abstract | Les malformations utéro-vaginales peuvent être diagnostiquées par échographie dans un grand nombre de cas. La prévalence de l’aplasie utéro-vaginale habituellement rapportée dans la littérature est de 1/4000 à 1/10 000. Objectifs. Nous vous rapportons les difficultés diagnostic à l’échographie, les difficultés de prise en charge de notre cas d’aplasie vaginale. Observation : Il s’agissait d’une patiente de 20ans vendeuse, célibataire. Histoire de la maladie : était marquée par des algies pelviennes cycliques depuis 6mois avec aménorrhée primaire. Elle est sans antécédant médico-chirurgicaux particulier. A l’examen physique : les caractères sexuels secondaires étaient développés. A l’inspection de la vulve on a noté une pilosité pubienne normale. L’examen de la vulve a permis de voir les grandes et les petites lèvres présents et d’aspect normal. On ne pouvait pas identifier un hymen et Il n’y avait pas d’orifice vaginal visible. Devant cette symptomatologie clinique et paraclinique, nous avons posé le diagnostic d’agénésie vaginale. L’échographie a montré un utérus mesurant environ 92x71x62 mm, son parenchyme est homogène, ses contours sont réguliers. La présence dans la cavité utérine au niveau corporéo-fundique d'une collection échogène homogène d'environ 66,5 cc ( 69x35 mm). A noter la malformation congénitale du col utérin à type d'agénésie). L’intervention chirurgicale réalisée : est la vaginoplastie. Conclusion : l’échographie de la malformation utérine est difficile et nécessite une certaine expérience de l’échographiste | fr_FR |