Problèmes liés à la pratique de l' anesthésie pédiatrique au CHU Gabriel TOURE
Résumé
Notre étude a montré l'importance de la pratique de l' inférieur à anesthésie supérieur à chez l' inférieur à enfant supérieur à de 0 à 5 ans au inférieur à CHU Gabriel TOURE supérieur à. Elle nous a permis de relever les difficultés auxquels elle est confrontée aux différents stades de la inférieur à prise en charge supérieur à. D'abord le manque de structure spécifique à la chirurgie pédiatrique s'est traduit dans notre étude par l'augmentation du délai de la prise en charge et de la durée du jeûne opératoire. Le bilan pré-opératoire des patients (prescrit essentiellement par les chirurgiens)a été pour la plus part exhaustif par rapport à l'état des malades et à a nature de l'intervention. Les infections respiratoires ont été à l'origine de 85,2 p. 100 des reports d'anesthésie (qui ont concerné 27,3 p. 100 de nos patients). Au bloc la prémédication et l'induction ont été majoritairement douloureuses (53,5 p. 100 d'induction en IM); les incidents (ont été sans létalité), dominés par les vomissements et les retards de réveil, ont concerné 10 p. 100 des patients avec une prédominance des patients de moins de 2 ans. L'ALR n'a pas été pratiquée alors que potentiellement els 3/4 des patients auraient pu en bénéficier. De même l'anesthésie ambulatoire lurait pu occuper une place significative, compte tenu d'abord de ses avantages économiques et psychologiques, mais surtout du fait que 81 p. 100 de nos patients étaient ASA1 et que 82 p. 100 des interventions ont duré moins d'une heure. L' inférieur à analgésie supérieur à postopératoire a été déficiente surtout chez les gros malades. Cette étude nous a par ailleurs révélé que 2/3 des patients vus en consultation pendant la durée de notre enquête n'ont pas été opérés. Malgré le manque de moyens, nous n'avons pas enregistré de décès.