Evaluation clinique des deux régimes de corticothérapie dans le traitement des névrites et des réactions lèpreuses à l'Institut Marchoux de Bamako ( Mali)
Résumé
La inférieur à Lèpre supérieur à est une maladie inffectueuse, congetagieuse et chronique. Son évolution est emaillee de perturbation immunologiques pouvant se manifester avant, pendant et même après le traitement spécifique (la inférieur à polychimiotherapie supérieur à). Ces perturbations immunologiques peuvent être soit à mediation cellulaire et donner des réactions d'invertion (RI) soit médiation humorale et donner des érythèmes noueux lèpreux (ENL). Les phénomènes inflamatiores peuvent aussi concerner les nerfs périphéques soit en association avec les réactions de type I ou II soit isolées. Le traitement de ces phénomènes inflamatoires est basé sur l'administration des antalgiques et des anti-inflamatoires, qu'ils soient stéroidiens ou non. Le traitement a base de corticoides est au long cours et s'étend sur 12 à 20 semaines (21) voire plus. Il resulte de cette inférieur à corticothérapie supérieur à (au long cours de nombreux inférieur à effets indésirables supérieur à parfois grâves. Le but de notre traivail était d'évaluer comparativement l'éfficacité et l'innocuité clinique de deux régimes de corticothérapie (dose unique matinale et dose biquotidienne) dans le traitement des nevrites et reaction lepreuses. Pour cela nous avons effectueé une inférieur à enquête prospective supérieur à portant sur 100 patients réactionnels et/ou névritiques ayant consulté de lèprologie de l' inférieur à Institut Marchoux supérieur à de mars 1998 à avril 1999. Les patients ont été répartis en deux groupes selon le régime de corticothérapie (prise unique 50 patients, prise biquotidienne 50 patients ). Nos résultarts n'ont pas montré de différence d'efficacité thérapeutique significative entre les deux modes d'administration. Après comparaison des inférieur à effets secondaires supérieur à des inférieur à corticoides supérieur à suivant le mode d'administration, nous n'avons pas mis en évidence une différence statistiquement significative. Ceci peut être du d'une part à la faible taille échantillon (100) et d'autre part au fait que l'avis des patients était sollicité dans la collecte des donnés sur les effects secondaires. Pour aprofondir la présente étude, il serait judicieux d'envisager une étude comparative portant sur l'évaluation clinique et biologique des deux modes d'administrations des corticoides dans le traitement des nèvrites et réactions lèpreuse. L'intérêt de l'évalution biologique sera de comparer le degré d'inhibition de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien par le dosage de la cortisolemie et de la pertubation de la balance hydro-électrolytique en fonction du mode d'administration.