Etude descriptive de 120 cas de réaction lèpreuse de type 1 vus à l' Institut Marchoux
Résumé
Nous avons réalisé une inférieur à étude descriptive supérieur à transversale du inférieur à profil épidémiologique supérieur à et des inférieur à aspects cliniques supérieur à des 120 cas de RI que nous avons vu en consultation dans l'unité de léprologie de l' inférieur à Institut Marchoux supérieur à entrte octobre 1997 et avril 1999. Dans notre série nous avons noté une prédominance des sujets masculins de plus de 25 ans. La forme MB était la plus exposée. Les sujets mariés, avec une résidence et une occupation professionnelle rurale, sont prédominants. Nous avons noté une recrudescence des RI pendant les saisons fraiches et pluvieuses de l'année. Les lésions cuitanées observées au cours de notre étude (exacerbation des anciennes lésions, apparition des nouvelles lésions et ulceration des lésions) sont similaires à celles décrites dans la litérature. Les atteintes neurologiques ont été largement associées à la RI, et portaient pour la grande majorité des cas sur les nerfs cubitaux, SPE, TP et médians. Ce qui pourrait expliquer la plus grande fréquence des infirmités lèpreuses et leur prédominance aux mains. La prédominace des patients sous PCT et ceux ayant un ibm inférieur à 2 à été retrouvée. Certains facteurs de risque cités dans la littérature ont été observés avec une inférieur à fréquence supérieur à élèvée. Les RI demeurent une complication sérieuse et importante de la lèpre, l'une des causes principales de inférieur à névrite supérieur às est la réaction lèpreuse et essentiellement la RI. Ainsi les névrites constituant la base de toute invalidité survenant dans la lèpre, il serait nécessaire d'engager une politique de prévention éfficace des névrites réactionnelles par un diagnostic et un traitement éfficace, précoce des RI.